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[Flashback, X] Sauf que... [PV Natasha A. Rolinskof]
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[Flashback, X] Sauf que... [PV Natasha A. Rolinskof]
Alivan Bosvoski Sam 29 Aoû - 23:55
Encore un soir. Encore une nuit. Mokba la belle était parée de ses plus belles lumières. C'était une soirée pour... Elle. Pour une fois. Il la négligeait beaucoup, il savait... Entre sa sœur, Garence, elle et Vic, il était assez occupé pour un petit branleur... Mais... Ce soir, il avait besoin d'elle. Vraiment besoin.
Et ça l'énervait.
Il ne comprenait toujours pas pourquoi celle femme l'attrait. Pourquoi il se sentait presque coupable de la négliger ainsi au point de vouloir s'en excuser. Pourquoi alors qu'il haïssait tout ce qui ne faisait pas partie de son cercle, il avait tant besoin d'elle. Pourquoi il lui avait dit ce qu'il lui avait dit. Pourquoi elle lui faisait faire ce qu'il faisait. Pourquoi il était prêt à affronter Vic pour elle. Vic... Sa seule véritable amie hors de la famille. Vic qu'il avait tant aimé avant, qu'il aimait encore tant aujourd'hui. Vic avec qui il avait passé tant et tant de nuits... Et avec qui il en passait encore après tout...
Mais depuis... Il y a eu elle... Et il ne comprenait pas pourquoi...
Pourtant... Ça avait commencé par des nuits avec elles, comme avec toutes les autres... Des nuits de sexe débridé, à débiter ses fantasmes tordus. Un peu plus douces, peut-être. Un peu plus agréables... Non, pas comme toutes les autres finalement. Il y avait eu quelque chose dès le premier soir, quelque chose qui l'avait fasciné, intrigué, attiré. Et qui l'avait fait revenir. Encore, et encore. Comme il revenait ce soir… Qui l'avait fait revenir jusqu'à ce fameux soir, il y a quelques semaines à peine, où…
Remontée mentale dans le temps, alors que l'autocrate parcourait à pied la distance entre ses appartements et la maison close. La machine s'arrête à la fin de l'hiver.
Rewind. Pause. Play.
Encore un soir. Encore une nuit. Mokba la belle était parée de ses plus belles lumières. C'était une soirée pour... Elle. Encore une fois. Il la voyait au moins trois fois par semaine en ce moment. Elle. Elle uniquement. Envie de faire glisser sa peau de soie de poupée de porcelaine sous ses doigts, de se nourrir de ses soupirs de plaisir sous ses assauts, de la voir rougir de ses mots doux, de ses caresses, de ses baisers… Du gout de sa bouche… L'embrasser jusqu'à l'aube, et plus tard encore…
Comment pouvait-il se douter que le programme serait un peu différent cette nuit…
Arrivée toujours à la même heure, peu après l'ouverture. Il fit signe à l'hôtesse de l'accueil. Détail intéressant : savez-vous que le programme d'infidélité de l'établissement s'appelle la carte Alivan ? Il devrait, en tout cas. Pas besoin de lui indiquer le chemin. Il poussa la porte sans gêne, refermant derrière lui. Elle était de dos, devant la baie vitrée. Elle était encore en train de se préparer. Il se rapprocha à pas de loup.
Son parfum de miel, si apaisant, atteignit ses narines, et il savait déjà que la bulle qui leur faisait oublier le reste du monde serait à nouveau là ce soir. Il se colla contre son dos, passant les mains sur son ventre dans un soupir sans équivoque. Il la voulait, ni plus ni moins. Alivan était un drogué universel après tout. Et elle était une de ses pires addictions. Il se pencha à son oreille, lui soufflant à peine.
"Natasha… Tu m'as manqué, ma douceur…"
Puis ses lèvres glissèrent à peine pour embrasser son cou avec passion, ses bras la serrant un peu plus contre son ventre. Aucune patience… Mais au diable la patience quand le cœur s'en mêle, après tout, non… Ah, parce qu'il s'en mêlait ? Ah.
Et ça l'énervait.
Il ne comprenait toujours pas pourquoi celle femme l'attrait. Pourquoi il se sentait presque coupable de la négliger ainsi au point de vouloir s'en excuser. Pourquoi alors qu'il haïssait tout ce qui ne faisait pas partie de son cercle, il avait tant besoin d'elle. Pourquoi il lui avait dit ce qu'il lui avait dit. Pourquoi elle lui faisait faire ce qu'il faisait. Pourquoi il était prêt à affronter Vic pour elle. Vic... Sa seule véritable amie hors de la famille. Vic qu'il avait tant aimé avant, qu'il aimait encore tant aujourd'hui. Vic avec qui il avait passé tant et tant de nuits... Et avec qui il en passait encore après tout...
Mais depuis... Il y a eu elle... Et il ne comprenait pas pourquoi...
Pourtant... Ça avait commencé par des nuits avec elles, comme avec toutes les autres... Des nuits de sexe débridé, à débiter ses fantasmes tordus. Un peu plus douces, peut-être. Un peu plus agréables... Non, pas comme toutes les autres finalement. Il y avait eu quelque chose dès le premier soir, quelque chose qui l'avait fasciné, intrigué, attiré. Et qui l'avait fait revenir. Encore, et encore. Comme il revenait ce soir… Qui l'avait fait revenir jusqu'à ce fameux soir, il y a quelques semaines à peine, où…
Remontée mentale dans le temps, alors que l'autocrate parcourait à pied la distance entre ses appartements et la maison close. La machine s'arrête à la fin de l'hiver.
Rewind. Pause. Play.
Encore un soir. Encore une nuit. Mokba la belle était parée de ses plus belles lumières. C'était une soirée pour... Elle. Encore une fois. Il la voyait au moins trois fois par semaine en ce moment. Elle. Elle uniquement. Envie de faire glisser sa peau de soie de poupée de porcelaine sous ses doigts, de se nourrir de ses soupirs de plaisir sous ses assauts, de la voir rougir de ses mots doux, de ses caresses, de ses baisers… Du gout de sa bouche… L'embrasser jusqu'à l'aube, et plus tard encore…
Comment pouvait-il se douter que le programme serait un peu différent cette nuit…
Arrivée toujours à la même heure, peu après l'ouverture. Il fit signe à l'hôtesse de l'accueil. Détail intéressant : savez-vous que le programme d'infidélité de l'établissement s'appelle la carte Alivan ? Il devrait, en tout cas. Pas besoin de lui indiquer le chemin. Il poussa la porte sans gêne, refermant derrière lui. Elle était de dos, devant la baie vitrée. Elle était encore en train de se préparer. Il se rapprocha à pas de loup.
Son parfum de miel, si apaisant, atteignit ses narines, et il savait déjà que la bulle qui leur faisait oublier le reste du monde serait à nouveau là ce soir. Il se colla contre son dos, passant les mains sur son ventre dans un soupir sans équivoque. Il la voulait, ni plus ni moins. Alivan était un drogué universel après tout. Et elle était une de ses pires addictions. Il se pencha à son oreille, lui soufflant à peine.
"Natasha… Tu m'as manqué, ma douceur…"
Puis ses lèvres glissèrent à peine pour embrasser son cou avec passion, ses bras la serrant un peu plus contre son ventre. Aucune patience… Mais au diable la patience quand le cœur s'en mêle, après tout, non… Ah, parce qu'il s'en mêlait ? Ah.
Alivan Bosvoski- Messages : 23
Re: [Flashback, X] Sauf que... [PV Natasha A. Rolinskof]
Natasha A. Rolinskof Dim 30 Aoû - 19:56
En cette soirée comme lors de toutes les autres, Natasha se préparait. Elle avait déjà choisit sa tenue et l’avait déjà enfilée. Fini la recherche frénétique de la bonne tenue, les pirouettes devant le miroir pour voir si elle lui convenait et si les couleurs s’harmonisaient comme elle le souhaitait. Tant de temps a choisir des vêtements qui d’ici peu seraient ôtés. C’était inévitable. Puisque c’était son métier. Mais Natasha n’était pas à penser à la personne avec qui elle passerait la nuit à venir, mais plutôt à celles qui étaient déjà passées. Plus particulièrement l’une d’entre elle. Une nuit qui semblait s’être déroulée si récemment et peut être aussi si lointaine. Comme la notion de souvenir est étrange… Certains sont flous car lointain, mais parfois même avec le temps l’esprit en garde chaque détail. Du moins pour certains d’entre eux. Pourquoi ? Sûrement parce qu’ils ont été différent des autres. Et que oui, cette nuit là avait été différente. Elle semblait pourtant banale, comme les autres. Quoique… Les nuits avec Alivan n’avait jamais été comme les autres. Natasha ne s’en était pas rendue compte de suite. Mais quand après son départ à l’aube, elle s’était remise à penser à lui en fin de journée, elle s’était posée des questions. Oui il était beau. Evidement. Quelque chose l’avait instinctivement attiré. Son physique, son allure aussi, ou peut-être ce que l’on en disait…Après tout Alivan était connu de la maison close, de la plupart des filles et il paraissait que même la maquerelle l’avait eu…Quand elle l’avait vu dans la salle, elle avait espérée qu’il la choisirait. Et cela avait été le cas, elle avait été contente, elle avait immédiatement souris et elle n’avait pas eu à le regretter. Puis il était revenu.
En ce moment, face à cette grande baie vitrée, elle se revoyait à cette nuit là. Celle qui parmi des nuits différentes avait encore était plus différente. Jamais elle n’aurait pensée que cela puisse arriver…Lui arriver…Comme ça…Sans vraiment s’être laissée le temps de réfléchir. A ce qui se passait, à ce que cela impliquait, à ce que cela impliquerait…
Cette fameuse nuit…
Là aussi elle se préparait. Encore et toujours vêtue d’une robe aux connotations d’un autre siècle. Le tissu était fin. De couleurs blanc cassé. La robe sans manche s’arrêtait sous ses genoux, ample vers le bas, elle semblait devenir de plus en plus translucide au fur et à mesure que l’on descendait. Le haut de ses jambes était facilement visible et le reste se laisserait deviner avec un bon éclairage. Terminant d’attacher le dernier bouton à la base de sa nuque, la tête penchée en avant pour ne pas se prendre les cheveux dans la manœuvre, elle n’avait pas vu le reflet d’Alivan dans la baie vitrée s’approchait. Elle ne l’avait pas non plus entendu s’avançait en silence. Au moment où elle avait relevé la tête, les deux bras d’Alivan l’avaient enserré au niveau de la taille.
Elle n’aurait guère eu besoin d’entendre sa voix pour le reconnaître. C’était l’homme qu’elle voyait le plus souvent en ce moment. Près de trois fois par semaine. Il revenait, et elle l’attendait. A chaque fois qu’elle le voyait venir, elle était heureuse. Elle se sentait immédiatement transportée. Elle n’avait jamais vraiment voulu se demander pourquoi, sans pour autant pouvoir s’empêcher d’y penser. Tout, son odeur, sa peau, sa voix, la faisait trembler.
« Alivan… » Ce fût plus murmurer que clairement prononcé.
Elle posa ses mains sur les bras d’Alivan et se laissa aller contre lui alors qui la rapprochait encore de lui. Ah…Il en fallait si peu pour qu’elle se laisse enivrer. Elle avait fermé les yeux et le laisser l’embrasser dans le cou avec contentement. Il la voulait, mais elle aussi le voulait. Chaque fois c’était pareil. Cela semblé presque irréel. Ses lèvres dans son cou, elle ne voulait pas qu’elles le quittent. Elle voulait que ça dure. Mais pour ça il aurait fallu qu’elle soit patiente. Or, avec Alivan ne pouvait l’être. Elle était sas arrêt pressée. Pressée de le voir, pressée de passer du temps, quoiqu’ils fassent, pressée de lui parler. Et pourtant quand il était là, les mots s’enfuyaient. Mais les gestes restaient eux. Et elles les aimaient tant. Elle était pressée de les sentir. Sur ses bras, dans son cou et à tout autre endroit. Elle aimait être avec Alivan. C’est sûrement sur ce détail qu’elle devrait réfléchir. Pourquoi Alivan et pas un autre ? Pourquoi était-elle si pressée d’entendre ses pas dans le couloir ? De l’apercevoir dans l’encadrement de la porte ? De sentir ses bras autour d’elle ? Au fond, elle se doutait…Non…Elle savait... Encore fallait-il qu’elle admette. Mais l’heure n’était plus vraiment à la réflexion.
Elle ne s’écarta de lui qu’une seconde, le temps pour elle de se retourner face à lui. De plonger ses lentilles rouges dans les yeux bleu et si mystérieux d’Alivan. Elle se recolla à lui, menant ses mains autour de son cou, caressant lentement sa nuque.
« Alivan, je suis si contente de te voir. » Le « tu m’as manqués aussi» étaient sous entendus par le ton même de sa voix, de ses mots, de son sourire et de son regard. Au fond, tant de chose chez Natasha criaient qu’il lui avait manqué, que c’était impossible qu’il ne le devine pas.
Elle l’embrassa alors à son tour dans le bas de son cou.
En y repensant maintenant, Natasha se demandait à quoi ils pouvaient bien ressembler, enlacer ainsi. Les bras de l’un autour de l’autre. La première idée qui viendrait serait-elle vraiment celle d’une prostituée et de son client ?…Elle en doutait…Probablement parce qu’à ce moment, elle savait déjà, qu’elle ne pourrait pas…plus nier ce qu’il se passait…Ce n’était plus du travail…Ce n’était plus qu’un simple jeu…C’était devenu autre chose…Doucement…mais sûrement…Elle commençait enfin à le comprendre…à l’accepter. De toutes façons que pourrait-elle faire contre ça ? Peu de chose, rien, si c’était vrai.
En ce moment, face à cette grande baie vitrée, elle se revoyait à cette nuit là. Celle qui parmi des nuits différentes avait encore était plus différente. Jamais elle n’aurait pensée que cela puisse arriver…Lui arriver…Comme ça…Sans vraiment s’être laissée le temps de réfléchir. A ce qui se passait, à ce que cela impliquait, à ce que cela impliquerait…
Cette fameuse nuit…
Là aussi elle se préparait. Encore et toujours vêtue d’une robe aux connotations d’un autre siècle. Le tissu était fin. De couleurs blanc cassé. La robe sans manche s’arrêtait sous ses genoux, ample vers le bas, elle semblait devenir de plus en plus translucide au fur et à mesure que l’on descendait. Le haut de ses jambes était facilement visible et le reste se laisserait deviner avec un bon éclairage. Terminant d’attacher le dernier bouton à la base de sa nuque, la tête penchée en avant pour ne pas se prendre les cheveux dans la manœuvre, elle n’avait pas vu le reflet d’Alivan dans la baie vitrée s’approchait. Elle ne l’avait pas non plus entendu s’avançait en silence. Au moment où elle avait relevé la tête, les deux bras d’Alivan l’avaient enserré au niveau de la taille.
Elle n’aurait guère eu besoin d’entendre sa voix pour le reconnaître. C’était l’homme qu’elle voyait le plus souvent en ce moment. Près de trois fois par semaine. Il revenait, et elle l’attendait. A chaque fois qu’elle le voyait venir, elle était heureuse. Elle se sentait immédiatement transportée. Elle n’avait jamais vraiment voulu se demander pourquoi, sans pour autant pouvoir s’empêcher d’y penser. Tout, son odeur, sa peau, sa voix, la faisait trembler.
« Alivan… » Ce fût plus murmurer que clairement prononcé.
Elle posa ses mains sur les bras d’Alivan et se laissa aller contre lui alors qui la rapprochait encore de lui. Ah…Il en fallait si peu pour qu’elle se laisse enivrer. Elle avait fermé les yeux et le laisser l’embrasser dans le cou avec contentement. Il la voulait, mais elle aussi le voulait. Chaque fois c’était pareil. Cela semblé presque irréel. Ses lèvres dans son cou, elle ne voulait pas qu’elles le quittent. Elle voulait que ça dure. Mais pour ça il aurait fallu qu’elle soit patiente. Or, avec Alivan ne pouvait l’être. Elle était sas arrêt pressée. Pressée de le voir, pressée de passer du temps, quoiqu’ils fassent, pressée de lui parler. Et pourtant quand il était là, les mots s’enfuyaient. Mais les gestes restaient eux. Et elles les aimaient tant. Elle était pressée de les sentir. Sur ses bras, dans son cou et à tout autre endroit. Elle aimait être avec Alivan. C’est sûrement sur ce détail qu’elle devrait réfléchir. Pourquoi Alivan et pas un autre ? Pourquoi était-elle si pressée d’entendre ses pas dans le couloir ? De l’apercevoir dans l’encadrement de la porte ? De sentir ses bras autour d’elle ? Au fond, elle se doutait…Non…Elle savait... Encore fallait-il qu’elle admette. Mais l’heure n’était plus vraiment à la réflexion.
Elle ne s’écarta de lui qu’une seconde, le temps pour elle de se retourner face à lui. De plonger ses lentilles rouges dans les yeux bleu et si mystérieux d’Alivan. Elle se recolla à lui, menant ses mains autour de son cou, caressant lentement sa nuque.
« Alivan, je suis si contente de te voir. » Le « tu m’as manqués aussi» étaient sous entendus par le ton même de sa voix, de ses mots, de son sourire et de son regard. Au fond, tant de chose chez Natasha criaient qu’il lui avait manqué, que c’était impossible qu’il ne le devine pas.
Elle l’embrassa alors à son tour dans le bas de son cou.
En y repensant maintenant, Natasha se demandait à quoi ils pouvaient bien ressembler, enlacer ainsi. Les bras de l’un autour de l’autre. La première idée qui viendrait serait-elle vraiment celle d’une prostituée et de son client ?…Elle en doutait…Probablement parce qu’à ce moment, elle savait déjà, qu’elle ne pourrait pas…plus nier ce qu’il se passait…Ce n’était plus du travail…Ce n’était plus qu’un simple jeu…C’était devenu autre chose…Doucement…mais sûrement…Elle commençait enfin à le comprendre…à l’accepter. De toutes façons que pourrait-elle faire contre ça ? Peu de chose, rien, si c’était vrai.
Natasha A. Rolinskof- Messages : 25
Localisation : Rue Kitrovka
Re: [Flashback, X] Sauf que... [PV Natasha A. Rolinskof]
Alivan Bosvoski Mer 2 Sep - 16:50
L'autocrate ferma les yeux. Comme par automatisme, ses phalanges se glissèrent dans la chevelure flamboyante de son partenaire du soir. De la nuit. Il avait payé a Vic, en avance, sans que son amante le sache. Il valait mieux... Il ne voulait plus d'histoire d'argent au bout de leur nuit. C'était manquer de respect... Depuis quand se souciait-il donc du respect qu'il pouvait devoir à une belle de nuit ? Ça n'était que la deuxième fois que cela arrivait jusqu'ici... Pourquoi lui faisait-elle tant penser à Vic, au début... En plus douce... En plus... Émouvante ? Un peu moins sensuelle, peut être, mais... Elle le troublait... Pourquoi diable la troublait-il... Son souffle un petit peu plus court, il glissa à l'oreille, d'une voix toujours aussi blanche.
"Moi aussi, ma princesse... Je n'ai pas arrêté de penser à toi..."
Mensonge pieux, bien sûr. Il avait pensé à sa soeur et à d'autres choses. Mais il était vrai qu'elle avait occupé son esprit comme rarement il l'avait été par d'autres. Toujours cette satanée énigme qui l'entêtait... N'était-ce que ça ? Peut-être pas non, peut-être y avait-il quelque chose qu'il refusait d'admettre pour l'instant. L'affection non "familiale ", même si ce mot avec une notion bien différente pour lui, n'était pas dans ses habitudes. Il n'avait qu'un ou deux amis hors de ce cercle, avec lesquels ils avaient des relations plus que conflictuelles. Alors, ne lui parlez même pas de quelque chose de plus puissant. De toute façon, seule sa soeur aura son corps et son âme à tout jamais.
Et pourtant... Une frêle créature semblait en grappiller chaque jour des morceaux, presque bien malgré elle, au grand dam de la magnifique blonde sus-nommée, qui n'était pas dupe de ses excuses et lisait en lui comme dans un livre ouvert. Si Natasha savait ce que sa sœur disait d'elle... Mais il fallait lui pardonner, il n'acceptait non plus qu'un homme se mette entre elle et lui. Ils ne comprendraient sans doute jamais qu'on ne les séparera pas si vite. Mais la belle-de-nuit restait une menace pour elle. Une menace a laquelle Alivan semblait de plus en plus attiré...
Sa main glissa sur la nuque, frôla la joue puis vient sous le menton pour le relever. Son impatience avait encore repris le dessus. Doucement, il approcha son visage, les yeux dans les yeux. Le temps semble se suspendre quelques instants quand les regards se croisent. Elle est belle. Il s'oublie en elle, petit à petit... Il prend la lèvre inférieure entre les siennes d'abord, presque timidement. Les bras reviennent enlacer le corps de la jeune femme, le serrant tout contre le sien, comme par peur qu'elle s'échappe subitement, qu'elle décide qu'il est trop odieux pour elle.
Mais la fougue du jeune homme arrive bien vite à l'assaut. Le baiser reprend plus passionnément. Le jeune homme glisse sa langue dans la bouche de sa troublante partenaire pour venir caresser sa camarade. Ses doigts parcourent son dos avec avidité avant de se glisser sous son haut, pour mieux sentir sa peau de satin brulante glisser sous ses phalanges. Là, juste là... Ce moment-là était parfait. Et il en voulait encore. Alors, il poursuivit ce baiser et ses caresses, leurs deux corps se mettant à tourner dans une lente danse... La tête qui tournait. Et c'était si bon...
"Moi aussi, ma princesse... Je n'ai pas arrêté de penser à toi..."
Mensonge pieux, bien sûr. Il avait pensé à sa soeur et à d'autres choses. Mais il était vrai qu'elle avait occupé son esprit comme rarement il l'avait été par d'autres. Toujours cette satanée énigme qui l'entêtait... N'était-ce que ça ? Peut-être pas non, peut-être y avait-il quelque chose qu'il refusait d'admettre pour l'instant. L'affection non "familiale ", même si ce mot avec une notion bien différente pour lui, n'était pas dans ses habitudes. Il n'avait qu'un ou deux amis hors de ce cercle, avec lesquels ils avaient des relations plus que conflictuelles. Alors, ne lui parlez même pas de quelque chose de plus puissant. De toute façon, seule sa soeur aura son corps et son âme à tout jamais.
Et pourtant... Une frêle créature semblait en grappiller chaque jour des morceaux, presque bien malgré elle, au grand dam de la magnifique blonde sus-nommée, qui n'était pas dupe de ses excuses et lisait en lui comme dans un livre ouvert. Si Natasha savait ce que sa sœur disait d'elle... Mais il fallait lui pardonner, il n'acceptait non plus qu'un homme se mette entre elle et lui. Ils ne comprendraient sans doute jamais qu'on ne les séparera pas si vite. Mais la belle-de-nuit restait une menace pour elle. Une menace a laquelle Alivan semblait de plus en plus attiré...
Sa main glissa sur la nuque, frôla la joue puis vient sous le menton pour le relever. Son impatience avait encore repris le dessus. Doucement, il approcha son visage, les yeux dans les yeux. Le temps semble se suspendre quelques instants quand les regards se croisent. Elle est belle. Il s'oublie en elle, petit à petit... Il prend la lèvre inférieure entre les siennes d'abord, presque timidement. Les bras reviennent enlacer le corps de la jeune femme, le serrant tout contre le sien, comme par peur qu'elle s'échappe subitement, qu'elle décide qu'il est trop odieux pour elle.
Mais la fougue du jeune homme arrive bien vite à l'assaut. Le baiser reprend plus passionnément. Le jeune homme glisse sa langue dans la bouche de sa troublante partenaire pour venir caresser sa camarade. Ses doigts parcourent son dos avec avidité avant de se glisser sous son haut, pour mieux sentir sa peau de satin brulante glisser sous ses phalanges. Là, juste là... Ce moment-là était parfait. Et il en voulait encore. Alors, il poursuivit ce baiser et ses caresses, leurs deux corps se mettant à tourner dans une lente danse... La tête qui tournait. Et c'était si bon...
Alivan Bosvoski- Messages : 23
Re: [Flashback, X] Sauf que... [PV Natasha A. Rolinskof]
Natasha A. Rolinskof Sam 17 Oct - 10:52
Son visage toujours cachait dans le cou du jeune homme, Natasha continuait d’y déposer de légers baisers. Elle effleurait de ses lèvres chaudes la peau de son amant avec lenteur, prenant son temps, se délectant de chaque secondes qui s’écoulaient, craignant que la nuit ne se sauve que trop rapidement une fois encore. Chacune des nuits que Natasha passaient en la compagnie d’Alivan étaient différentes des autres. Elle avait beau profiter de chacun des moments qu’ils passaient ensemble et les graver un à un dans sa mémoire, le jour arrivait toujours tellement vite. Alors Natasha avait décidé de ne plus penser à l’échéance de cette nuit, mais plutôt à ce qu’ils allaient y faire, et d’avance, elle s’impatientait. Alivan lui faisait plus d’effets qu’aucun autre homme avant lui. Le simple fait de penser à lui, à eux deux, suffisaient à faire frissonner la jeune femme, à lui faire envie…
Lorsqu’il lui dit qu’il n’avait fait que penser à elle, Natasha se sentit transporter. Peu importe que cela soit vrai ou non, Natasha ne s’en préoccupait pas. Peut-être parce qu’elle le croyait. Lorsqu’ils n’étaient que tous les deux, le reste du monde disparaissait. Avait-il idée du nombre de fois que la jeune femme avait pensé à lui ? Lui, pouvait penser à elle, et savoir quand –est-ce qu’il viendrait la voir. Mais elle ne pouvait qu’attendre. S’impatienter, ou même s’inquiéter. Alivan était connu dans l’établissement. S’il décidait de ne plus la voir à elle. Quant le saurait-elle et comment. Instinctivement elle resserra son bras autour de son cou, elle ne voulait pas qu’il s’en aille. Elle voulait continuait à passer ses nuit avec lui, ou du moins la majorité de ses nuits avec lui. Il venait souvent ces derniers temps, il était en train de très mal l’habituer. Elle allait continuer à l’attendre, à espérer qu’il vienne toujours aussi souvent. Mais est-ce que cela durerait ? Elle espérait que oui.
Elle se laissa faire par Alivan lorsqu’il lui souleva le menton, et ils se fixèrent. Quelques secondes et pourtant. Natasha ne le quittait pas du regard. Elle le regarda s’avançait, avant de fermer les yeux, lorsqu’il vînt saisir sa lèvre inférieure. Il était impatient, mais elle aussi. Le baiser s’approfondit. Après tout la nuit passerait encore trop vite, alors autant en profiter de suite. Leurs deux langues continuèrent leur danse. Natasha frissonna à nouveau quant les mains de son amant passèrent dans son dos. Chacun de ses contacts avec Alivan, aussi minime soit il la pousser à le vouloir. Sa main gauche resta dans le cou du jeune homme, cherchant encore et toujours à le rapprocher d’avantage, alors qu’ils étaient toujours collés l’un à l’autre. Parallèlement, sa main droite passa sous la chemise d’Alivan. Elle commença à explorer encore et encore le torse de son amant. Elle le connaissait par cœur, elle avait déjà vu tant et tant de fois. Pourtant cela était toujours aussi plaisant. Sa main droite, toujours présente sous la chemise, se déplaçait avec légèreté et assurance. Elle resta un moment sur le haut de son torse à multiplier les caresses alors que leurs baisers ne faisaient que se multiplier. Elle voulait que ça dure encore et encore. Natasha redescendit sa main sur les hanches de son amant et profita de la fin de l’un de leur baiser pour lui dire droit dans les yeux.
« J’ai envie que l’on s’amuse tout les deux. » Autre façon de dire j’ai envie de toi.
Natasha sentait la température monter entre leurs deux corps, et le degré du sien ne cesser de croître. Elle avait les yeux brillants et le corps impatient. Elle l’embrassa de nouveau. Un baiser long et langoureux.
[HS : Vraiment désolée pour le retard. La rentrée s’est avérée plus dure que je ne le croyais. Je vais essayer de reprendre une rythme plus fréquent.]
Lorsqu’il lui dit qu’il n’avait fait que penser à elle, Natasha se sentit transporter. Peu importe que cela soit vrai ou non, Natasha ne s’en préoccupait pas. Peut-être parce qu’elle le croyait. Lorsqu’ils n’étaient que tous les deux, le reste du monde disparaissait. Avait-il idée du nombre de fois que la jeune femme avait pensé à lui ? Lui, pouvait penser à elle, et savoir quand –est-ce qu’il viendrait la voir. Mais elle ne pouvait qu’attendre. S’impatienter, ou même s’inquiéter. Alivan était connu dans l’établissement. S’il décidait de ne plus la voir à elle. Quant le saurait-elle et comment. Instinctivement elle resserra son bras autour de son cou, elle ne voulait pas qu’il s’en aille. Elle voulait continuait à passer ses nuit avec lui, ou du moins la majorité de ses nuits avec lui. Il venait souvent ces derniers temps, il était en train de très mal l’habituer. Elle allait continuer à l’attendre, à espérer qu’il vienne toujours aussi souvent. Mais est-ce que cela durerait ? Elle espérait que oui.
Elle se laissa faire par Alivan lorsqu’il lui souleva le menton, et ils se fixèrent. Quelques secondes et pourtant. Natasha ne le quittait pas du regard. Elle le regarda s’avançait, avant de fermer les yeux, lorsqu’il vînt saisir sa lèvre inférieure. Il était impatient, mais elle aussi. Le baiser s’approfondit. Après tout la nuit passerait encore trop vite, alors autant en profiter de suite. Leurs deux langues continuèrent leur danse. Natasha frissonna à nouveau quant les mains de son amant passèrent dans son dos. Chacun de ses contacts avec Alivan, aussi minime soit il la pousser à le vouloir. Sa main gauche resta dans le cou du jeune homme, cherchant encore et toujours à le rapprocher d’avantage, alors qu’ils étaient toujours collés l’un à l’autre. Parallèlement, sa main droite passa sous la chemise d’Alivan. Elle commença à explorer encore et encore le torse de son amant. Elle le connaissait par cœur, elle avait déjà vu tant et tant de fois. Pourtant cela était toujours aussi plaisant. Sa main droite, toujours présente sous la chemise, se déplaçait avec légèreté et assurance. Elle resta un moment sur le haut de son torse à multiplier les caresses alors que leurs baisers ne faisaient que se multiplier. Elle voulait que ça dure encore et encore. Natasha redescendit sa main sur les hanches de son amant et profita de la fin de l’un de leur baiser pour lui dire droit dans les yeux.
« J’ai envie que l’on s’amuse tout les deux. » Autre façon de dire j’ai envie de toi.
Natasha sentait la température monter entre leurs deux corps, et le degré du sien ne cesser de croître. Elle avait les yeux brillants et le corps impatient. Elle l’embrassa de nouveau. Un baiser long et langoureux.
[HS : Vraiment désolée pour le retard. La rentrée s’est avérée plus dure que je ne le croyais. Je vais essayer de reprendre une rythme plus fréquent.]
Natasha A. Rolinskof- Messages : 25
Localisation : Rue Kitrovka
Re: [Flashback, X] Sauf que... [PV Natasha A. Rolinskof]
Alivan Bosvoski Lun 19 Oct - 5:01
Les bras de l'autocrate se refermèrent jalousement autour la jeune rousse, la serrant contre lui bien plus qu'il de l'aurait lui-même voulu. Alors que le baiser se poursuivit plus intensément, Alivan s'écarta une seconde à peine, se débarrassant de sa chemise pour revenir l'enlacer doucement. Un soudain doute s'empara de lui. Il lui murmura à peine, les yeux un peu bas…
"Attends, attends… Doucement…"
Tout cela allait trop vite pour lui. Il devait analyser, comprendre… Comprendre pourquoi elle l'attirait tant, pourquoi il la voulait tellement, pourquoi il la demandait presque machinalement… Pourquoi elle lui rappelait tellement Vic quand il en était fou amoureux alors qu'elle semblait être si différente, si douce... Pourtant, il ressentait une réelle détermination en elle, une telle envie… Il n'ajouta pas un mot. Ses gestes furent plus lents, plus doux, ses doigts glissant dans la chevelure de la jeune femme, sur sa nuque, puis dans son cou, caresser à peine sa poitrine avant de revenir sur sa joue.
Il revint se poser front contre front sans cesser sa caresse, ses lèvres venant se promener sur le visage de sa partenaire, ses yeux, son nez, ses lèvres, langoureusement… Mais doucement toujours… Comme si aujourd'hui, il voulait la redécouvrir entièrement… Elle ou lui… Ses pulsions envers elle étaient toujours aussi puissantes, mais il voulait les étudier, les comprendre si possible. Il semblait caresser de ses doigts et de ses lèvres chaque courbe, chaque relief de son visage, mais sa passion reprenait le dessus petit à petit sans qu'il en ait vraiment le contrôle.
Déjà a nouveau, ses lèvres venant ronger passionnément son cou alors que ses doigts virent s'affairer pour déboutonner son haut avec empressement. Pourtant, au fond de lui, quelque chose avait envie de hurler à la jeune femme de fuir, maintenant, de ne pas s'attacher à lui ainsi. Qu'il allait se lasser. Lui briser le cœur. L'âme. Qu'il allait vouloir à nouveau de Vic, forcément, un jour, qu'elle était l'élue de son corps, et que ça sœur aurait son âme à tout jamais. Qu'il fallait qu'elle tourne le dos tant qu'il était encore possible. Ça n'était pas son genre de se lancer dans ce genre d'histoire sur le long terme, ou même sur le court terme. Il aimait sa sœur plus que tout, il n'y aurait jamais de la place pour elle…
Mais pourtant, ses gestes disaient le contraire, ses lèvres dévoraient le cou, le mordaient doucement, alors que le haut de la jeune femme rejoignait enfin le sien au sol. Il fit sauter l'ouverture du soutien-gorge puis repassa ses mains sur le dos pour le caresser lentement, serrant de nouveau son corps contre le sien, sentant sa poitrine s'écraser lentement contre son torse, sa peau contre celle de sa belle poupée de porcelaine. Il revint à nouveau embrasser ses lèvres, ses mains glissant de plus en plus bas.
Pourquoi la voulait-il si fort… Et pourquoi ne se sentait-il pas capable d'apprécier cet instant sans tellement y réfléchir… Pourquoi avait-il tellement envie d'elle qu'alors qu'il voulait simplement parler avec elle ce soir, il avait juste envie en cet instant d'enlever le peu de vêtements qu'il lui restait et de glisser entre ses cuisses pour lui faire tant et tant de choses qu'elle pousserait de nouveau cette magnifique symphonie de ses soupirs de plaisir, quand elle tentait en vain de retenir ses gémissements de plaisir avant d'abandonner totalement le contrôle.
[PS : Pas grave du tout du tout allons, j'ai hâte de continuer à jouer avec toi (k)]
"Attends, attends… Doucement…"
Tout cela allait trop vite pour lui. Il devait analyser, comprendre… Comprendre pourquoi elle l'attirait tant, pourquoi il la voulait tellement, pourquoi il la demandait presque machinalement… Pourquoi elle lui rappelait tellement Vic quand il en était fou amoureux alors qu'elle semblait être si différente, si douce... Pourtant, il ressentait une réelle détermination en elle, une telle envie… Il n'ajouta pas un mot. Ses gestes furent plus lents, plus doux, ses doigts glissant dans la chevelure de la jeune femme, sur sa nuque, puis dans son cou, caresser à peine sa poitrine avant de revenir sur sa joue.
Il revint se poser front contre front sans cesser sa caresse, ses lèvres venant se promener sur le visage de sa partenaire, ses yeux, son nez, ses lèvres, langoureusement… Mais doucement toujours… Comme si aujourd'hui, il voulait la redécouvrir entièrement… Elle ou lui… Ses pulsions envers elle étaient toujours aussi puissantes, mais il voulait les étudier, les comprendre si possible. Il semblait caresser de ses doigts et de ses lèvres chaque courbe, chaque relief de son visage, mais sa passion reprenait le dessus petit à petit sans qu'il en ait vraiment le contrôle.
Déjà a nouveau, ses lèvres venant ronger passionnément son cou alors que ses doigts virent s'affairer pour déboutonner son haut avec empressement. Pourtant, au fond de lui, quelque chose avait envie de hurler à la jeune femme de fuir, maintenant, de ne pas s'attacher à lui ainsi. Qu'il allait se lasser. Lui briser le cœur. L'âme. Qu'il allait vouloir à nouveau de Vic, forcément, un jour, qu'elle était l'élue de son corps, et que ça sœur aurait son âme à tout jamais. Qu'il fallait qu'elle tourne le dos tant qu'il était encore possible. Ça n'était pas son genre de se lancer dans ce genre d'histoire sur le long terme, ou même sur le court terme. Il aimait sa sœur plus que tout, il n'y aurait jamais de la place pour elle…
Mais pourtant, ses gestes disaient le contraire, ses lèvres dévoraient le cou, le mordaient doucement, alors que le haut de la jeune femme rejoignait enfin le sien au sol. Il fit sauter l'ouverture du soutien-gorge puis repassa ses mains sur le dos pour le caresser lentement, serrant de nouveau son corps contre le sien, sentant sa poitrine s'écraser lentement contre son torse, sa peau contre celle de sa belle poupée de porcelaine. Il revint à nouveau embrasser ses lèvres, ses mains glissant de plus en plus bas.
Pourquoi la voulait-il si fort… Et pourquoi ne se sentait-il pas capable d'apprécier cet instant sans tellement y réfléchir… Pourquoi avait-il tellement envie d'elle qu'alors qu'il voulait simplement parler avec elle ce soir, il avait juste envie en cet instant d'enlever le peu de vêtements qu'il lui restait et de glisser entre ses cuisses pour lui faire tant et tant de choses qu'elle pousserait de nouveau cette magnifique symphonie de ses soupirs de plaisir, quand elle tentait en vain de retenir ses gémissements de plaisir avant d'abandonner totalement le contrôle.
[PS : Pas grave du tout du tout allons, j'ai hâte de continuer à jouer avec toi (k)]
Alivan Bosvoski- Messages : 23
Re: [Flashback, X] Sauf que... [PV Natasha A. Rolinskof]
Natasha A. Rolinskof Jeu 31 Déc - 2:35
Natasha ne voulait qu’une chose. Etre toujours de plus en plus proche d’Alivan. Alors maintenant que les bras de l’homme la serraient contre elle, elle était bien. Bien, mais pas rassasiée. Elle ne se trouvait toujours pas assez proche. Elle voulait tant de choses en même temps. Elle voulait son corps, elle voulait sa voix, elle voulait son odeur, son regard, ses lèvres. Elle voulait tout de lui, tout faire, tout essayer, comme jamais elle ne l’avait fait auparavant avec qui que ce soit. Aussi quand il lui dit « doucement », elle fût légèrement contrariée.
« Pourquoi ? » murmura t’elle sans le regarder. Elle ne voulait pas lever la tête. Elle voulait laisser son visage dans le cou d’Alivan. Le respirer, le sentir. Elle voulait des contacts toujours plus physiques avec lui. Une union complète. Vivre un moment fabuleux, comme à chaque fois qu’ils se voyaient. Pourtant et malgré son envie, elle tenta de réfréner ses ardeurs. Car après tout, elle devait bien l’avouer, la lenteur, profitait de chaque seconde, de chacun de leurs gestes dans toutes leurs mesures, avait son attrait.
C’était à la fois un plaisir et un supplice. Parce qu’elle avait envie, elle voulait cesser les préliminaires et passer aux choses sérieuses. Mais s’il prenait leur temps, cela ne ferait que durer plus longtemps. Cela rendrait les instants bien plus magique. Leur bulle…plus épaisse ? Tout en calmant ses mouvements la jeune femme se mit soudain à réfléchir. Pourquoi prendre autant de temps ? Pourquoi prendre le temps de profiter autant ? Pourquoi ce soir ? Qu’y avait t’il de différent par rapport aux autres fois ? Soudain la jeune femme fût prise d’une légère angoisse. Aussi sans même comprendre, peut-être parce que la situation ne lui permettait plus de réfléchir ou d’analyser les choses sereinement, elle demande à Alivan en s’éloignant un peu de lui. Enfin elle éloigna son visage du sien de façon à pouvoir le regarder droit dans les yeux, mais pas totalement son corps, seule sa main droite posée sur le torse pale d’Alivan se plaçait entre eux.
« As-tu l’intention de me laisser ? » Natasha n’avait sûrement pas conscience de l’inquiétude qui se lisait dans son regard. Car de l’inquiétude, elle n’en n’avait jamais eu à l’idée qu’un homme ne revient pas vers elle. Après tout ce n’était que des clients. Mais pas Alivan. Alivan n’était pas comme les autres. Mais justement en quoi était-il différent ? Quelque chose n’allait plus. Quelque chose de différents et d’inconnu ne cessait de croître entre eux. Et cela commencer à inquiéter Natasha.
C’était cela sûrement aussi, qui poussait Natasha à demander à Alivan s’il voulait partir. Car ce qu’elle savait, cela elle en était sûre, c’était bien qu’elle ne voulait pas qu’il parte. Il fallait à tout prix qu’il reste avec elle. Pourquoi ? Parce que. Elle savait qu’Alivan avait de nombreuses « aventures ». Bon nombre des filles de Vic, l’avaient connu dans le cadre de leur travail. Avait-il décidé d’aller en voir une nouvelle ? Natasha s’en inquiétait soudainement, alors qu’elle ne s’était jamais vraiment intéressée à cela auparavant.
Car maintenant, elle se rendait compte, qu’elle ne voulait pas voir Alivan avec une autre. Alors que cela ne l’aurait dérangeait s’il s’était agit d’un autre. Mais que se passait-il vraiment ? Pourquoi les choses devenaient t’elle si soudainement compliquée.
« Oh, Alivan. » soupira la jeune femme en remettant à embrasser le cou de son amant. Elle ne voulait plus réfléchir à cela. Cela l’angoisser. Sa main caressait le dos de son amant avec douceur. Elle avait ralentie ses ardeurs. Elle voulait comprendre ce qu’il se passait. Ce qui avait changé depuis la dernière fois qu’ils s’étaient vus. Ce qui faisait qu’Alivan était si différent. Peut-être qu’Alivan se posait les mêmes questions. Peut-être …
« Pourquoi ? » murmura t’elle sans le regarder. Elle ne voulait pas lever la tête. Elle voulait laisser son visage dans le cou d’Alivan. Le respirer, le sentir. Elle voulait des contacts toujours plus physiques avec lui. Une union complète. Vivre un moment fabuleux, comme à chaque fois qu’ils se voyaient. Pourtant et malgré son envie, elle tenta de réfréner ses ardeurs. Car après tout, elle devait bien l’avouer, la lenteur, profitait de chaque seconde, de chacun de leurs gestes dans toutes leurs mesures, avait son attrait.
C’était à la fois un plaisir et un supplice. Parce qu’elle avait envie, elle voulait cesser les préliminaires et passer aux choses sérieuses. Mais s’il prenait leur temps, cela ne ferait que durer plus longtemps. Cela rendrait les instants bien plus magique. Leur bulle…plus épaisse ? Tout en calmant ses mouvements la jeune femme se mit soudain à réfléchir. Pourquoi prendre autant de temps ? Pourquoi prendre le temps de profiter autant ? Pourquoi ce soir ? Qu’y avait t’il de différent par rapport aux autres fois ? Soudain la jeune femme fût prise d’une légère angoisse. Aussi sans même comprendre, peut-être parce que la situation ne lui permettait plus de réfléchir ou d’analyser les choses sereinement, elle demande à Alivan en s’éloignant un peu de lui. Enfin elle éloigna son visage du sien de façon à pouvoir le regarder droit dans les yeux, mais pas totalement son corps, seule sa main droite posée sur le torse pale d’Alivan se plaçait entre eux.
« As-tu l’intention de me laisser ? » Natasha n’avait sûrement pas conscience de l’inquiétude qui se lisait dans son regard. Car de l’inquiétude, elle n’en n’avait jamais eu à l’idée qu’un homme ne revient pas vers elle. Après tout ce n’était que des clients. Mais pas Alivan. Alivan n’était pas comme les autres. Mais justement en quoi était-il différent ? Quelque chose n’allait plus. Quelque chose de différents et d’inconnu ne cessait de croître entre eux. Et cela commencer à inquiéter Natasha.
C’était cela sûrement aussi, qui poussait Natasha à demander à Alivan s’il voulait partir. Car ce qu’elle savait, cela elle en était sûre, c’était bien qu’elle ne voulait pas qu’il parte. Il fallait à tout prix qu’il reste avec elle. Pourquoi ? Parce que. Elle savait qu’Alivan avait de nombreuses « aventures ». Bon nombre des filles de Vic, l’avaient connu dans le cadre de leur travail. Avait-il décidé d’aller en voir une nouvelle ? Natasha s’en inquiétait soudainement, alors qu’elle ne s’était jamais vraiment intéressée à cela auparavant.
Car maintenant, elle se rendait compte, qu’elle ne voulait pas voir Alivan avec une autre. Alors que cela ne l’aurait dérangeait s’il s’était agit d’un autre. Mais que se passait-il vraiment ? Pourquoi les choses devenaient t’elle si soudainement compliquée.
« Oh, Alivan. » soupira la jeune femme en remettant à embrasser le cou de son amant. Elle ne voulait plus réfléchir à cela. Cela l’angoisser. Sa main caressait le dos de son amant avec douceur. Elle avait ralentie ses ardeurs. Elle voulait comprendre ce qu’il se passait. Ce qui avait changé depuis la dernière fois qu’ils s’étaient vus. Ce qui faisait qu’Alivan était si différent. Peut-être qu’Alivan se posait les mêmes questions. Peut-être …
[Pourrais-je encore être excusé pour ce retard ? J'ai eu une grosse période d'abandon des RP et je m'excuse de n'avoir prévenu personne. Mon intérêt pour les Rp revient petit à petit et j'esoère que cette fois il ne se fera pas la malle. Je ne pense pas pouvoir poster plus d'une fois par semaine, mais j'espère rester active. Donc voilà, encore désolée.]
Natasha A. Rolinskof- Messages : 25
Localisation : Rue Kitrovka
Re: [Flashback, X] Sauf que... [PV Natasha A. Rolinskof]
Alivan Bosvoski Lun 4 Jan - 1:48
C'était un véritable conflit en lui désormais. Quelque chose qu'il n'arrivait ni à comprendre, ni à maîtriser. D'un côté, il avait cette envie d'être… Totalement fidèle à lui-même. De se servir d'elle comme un objet de plaisir, comme il le faisait habituellement avec les femmes de cette maison. Et il en avait envie en cet instant. Il avait envie d'elle, de la croquer, de vivre tous ses désirs et ses fantasmes avec elle. C'était toujours pour ça qu'il rentrait dans cet endroit après tout. S’il avait envie d'affection et d'une certaine forme de tendresse, il avait toujours sa sœur… S'il venait ici, c'était seulement pour le sexe. Il voulait son corps, ses cris, son plaisir…
Mais… "Pourquoi ?". Voilà la bonne question… Pourquoi se retenait-il… Pourquoi avait-il juste envie ce soir de caresser sa peau, de l'embrasser, la serrer contre lui, encore, lui murmurer des mots à l'oreille, des douceurs, des choses qu'il était bien incapable de lui avouer réellement… Pourquoi diable. Bien sûr, en un sens, c'était évident, mais il refuserait coûte que coûte de se l'avouer. Ça devait être autre chose. Un autre trouble. Une autre raison.
Et soudain, elle échappa cette question étrange, incongrue. L'intention de la laisser… Comme s'ils avaient signé un contrat. Comme s'ils étaient liés. Comme s'ils étaient… Ensemble. Il tendit un peu le cou sous ses délicieux baisers, mais en lui, la bête de désir reprenait le dessus. Non, il ne se remettrait pas, d'une manière ou d'une autre, avec une fille du bordel. Il avait retenu sa leçon la première fois, merci bien. Subitement, il emporta le corps de sa belle rousse avec lui sur le lit, et s'installa à califourchon sur elle pour déposer de nombreux baisers sur sa poitrine, jouant de sa langue gourmande autour d'une pointe pendant qu'une main venait caresser la chaire d'un mont voisin.
L'autre main du jeune homme caressa lentement le corps de la jeune femme, lâchant de doux soupirs contre sa peau. Et pendant un instant, il lui sembla être ridicule. Il avait envie d'elle. Mais pas comme ça pour l'instant. Pas tout de suite. Ça n'avait pas de sens. Il voulait la combler de plaisir la nuit durant… Et il allait le faire de toute manière. Mais avant… Ils devaient parler. Simplement savoir exactement ce qu'il se passait entre eux. C'était évident qu'elle semblait troublée aussi. Et en temps normal, il s'en serait fichu… Au sens propre du terme. Il aurait pris grand plaisir à jouer avec son cœur, la pousser toujours plus loin dans la passion, et attendre le point culminant pour la briser en mille morceaux, la laisser à terre pour de bon.
En temps normal, mais pas cette fois. Ses baisers remontèrent sur le buste et le long du cou pour venir embrasser lentement les lèvres de la jeune fille, l'enlaçant pour la retourner au-dessus de lui. Ses lèvres se détachèrent comme au ralenti. Choisir ses mots et ses gestes avec soin, maintenant. Ne pas briser ce moment. Sait-on jamais…
"Natasha…"
C'était un soupir de fond de gorge. Presque indécent, sans doute, mais ça n'était nullement son but en cet instant. Il se rendit compte presque malgré lui… Non…
"Je n'ai pas envie de te laisser…"
Ses doigts passèrent dans les cheveux roux flamboyant, sa main glissant doucement sur la peau du dos. Il lui susurra à nouveau, dans un doux sourire.
"Aurais-tu quelque chose à me dire… ?"
Il l'avait glissé sur ton plein de douceur et de bienveillance… Mais il avait hâte d'entendre sa réponse. Car de sa répondre dépendrait beaucoup ce qu'il allait lui-même lui dire. Il avait sa fierté pour lui, toujours, malgré tout, et ne s'ouvrait pas facilement. Alors, si elle lui glissait un "non, rien", il se contenterait, à sa grande grande joie, de la combler de plaisir. Mais si elle disait autre chose… Peut-être que…
[Ps : tu es bien sûre, encore une fois, toute excusée... Mais réponds vite cette fois ! ;)]
Mais… "Pourquoi ?". Voilà la bonne question… Pourquoi se retenait-il… Pourquoi avait-il juste envie ce soir de caresser sa peau, de l'embrasser, la serrer contre lui, encore, lui murmurer des mots à l'oreille, des douceurs, des choses qu'il était bien incapable de lui avouer réellement… Pourquoi diable. Bien sûr, en un sens, c'était évident, mais il refuserait coûte que coûte de se l'avouer. Ça devait être autre chose. Un autre trouble. Une autre raison.
Et soudain, elle échappa cette question étrange, incongrue. L'intention de la laisser… Comme s'ils avaient signé un contrat. Comme s'ils étaient liés. Comme s'ils étaient… Ensemble. Il tendit un peu le cou sous ses délicieux baisers, mais en lui, la bête de désir reprenait le dessus. Non, il ne se remettrait pas, d'une manière ou d'une autre, avec une fille du bordel. Il avait retenu sa leçon la première fois, merci bien. Subitement, il emporta le corps de sa belle rousse avec lui sur le lit, et s'installa à califourchon sur elle pour déposer de nombreux baisers sur sa poitrine, jouant de sa langue gourmande autour d'une pointe pendant qu'une main venait caresser la chaire d'un mont voisin.
L'autre main du jeune homme caressa lentement le corps de la jeune femme, lâchant de doux soupirs contre sa peau. Et pendant un instant, il lui sembla être ridicule. Il avait envie d'elle. Mais pas comme ça pour l'instant. Pas tout de suite. Ça n'avait pas de sens. Il voulait la combler de plaisir la nuit durant… Et il allait le faire de toute manière. Mais avant… Ils devaient parler. Simplement savoir exactement ce qu'il se passait entre eux. C'était évident qu'elle semblait troublée aussi. Et en temps normal, il s'en serait fichu… Au sens propre du terme. Il aurait pris grand plaisir à jouer avec son cœur, la pousser toujours plus loin dans la passion, et attendre le point culminant pour la briser en mille morceaux, la laisser à terre pour de bon.
En temps normal, mais pas cette fois. Ses baisers remontèrent sur le buste et le long du cou pour venir embrasser lentement les lèvres de la jeune fille, l'enlaçant pour la retourner au-dessus de lui. Ses lèvres se détachèrent comme au ralenti. Choisir ses mots et ses gestes avec soin, maintenant. Ne pas briser ce moment. Sait-on jamais…
"Natasha…"
C'était un soupir de fond de gorge. Presque indécent, sans doute, mais ça n'était nullement son but en cet instant. Il se rendit compte presque malgré lui… Non…
"Je n'ai pas envie de te laisser…"
Ses doigts passèrent dans les cheveux roux flamboyant, sa main glissant doucement sur la peau du dos. Il lui susurra à nouveau, dans un doux sourire.
"Aurais-tu quelque chose à me dire… ?"
Il l'avait glissé sur ton plein de douceur et de bienveillance… Mais il avait hâte d'entendre sa réponse. Car de sa répondre dépendrait beaucoup ce qu'il allait lui-même lui dire. Il avait sa fierté pour lui, toujours, malgré tout, et ne s'ouvrait pas facilement. Alors, si elle lui glissait un "non, rien", il se contenterait, à sa grande grande joie, de la combler de plaisir. Mais si elle disait autre chose… Peut-être que…
[Ps : tu es bien sûre, encore une fois, toute excusée... Mais réponds vite cette fois ! ;)]
Alivan Bosvoski- Messages : 23
Re: [Flashback, X] Sauf que... [PV Natasha A. Rolinskof]
Natasha A. Rolinskof Mer 6 Jan - 14:35
Cette nuit prenait une tournure de plus en plus décousue. Ils s’étaient retrouvés comme ils en avaient l’habitude. Ils s’étaient enlacés et embrassés. Ils s’étaient caressé ensuite, mais avec bien plus de douceurs, de tendresses et de lenteurs que d’habitude. Quand Natasha avait sous entendus vouloir passer aux choses sérieuses, il avait sous entendu qu’ils avaient tout le temps qui leur fallait. Et quand maintenant elle acceptait de prendre le temps, voilà que lui revenait à leurs habitudes.
Il emmena Natasha sur le lit et s’assit à califourchon sur elle. Le cœur de la jeune femme se remit à battre très rapidement, un sourire éclairant son visage. Cette situation déjà, elle connaissait bien mieux. Ca elle savait gérer. Quand la bouche de son amant se referma sur un de ces seins, elle eut un frisson. Elle aimait le sentir sur elle, que ce soit sa main sur un de ses seins ou sa bouche sur l’autre. Ses tétons s’étaient durcis, il l’avait de nouveaux embrassé, mais plus tendrement. Natasha comprit que les choses se calmaient à nouveau. Elle profita du baiser et hésiter à se détacher de lui quand elle sentit le contact de leurs bouches se défaire peu à peu. Ils se retrouvèrent face à face, elle attendait qu’il parle.
A croire que ce soir, ni l’un ni l’autre ne savait réellement ce qu’ils désiraient. Natasha alternait tour à tour, les phases de questionnements avec celle d’envies. D’un côté, elle souhaitait continuer, comme ils le faisaient d’habitude. Faire l’amour, crier de plaisir, comme à chaque fois qu’ils le faisaient mais s’un autre côté, une petite voix lui soufflait de façon très lointaine mais très claire, que peut-être, cette nuit, elle ne devrait pas faire comme d’habitude. L’attitude d’Alivan l’avait d’ailleurs poussé en ce sens. En lui disant « doucement », il lui avait fait comprendre qu’il voulait prendre son temps. Et elle avait alors d’avantage réfléchie. Mettant de côté sa partie insolente et têtue qui voulait faire comme d’habitude, parce que le changement ça fait peur, et celle plus calme qui voulait absolument comprendre. Mais comprendre quoi ? D’une certaine façon Natasha le savait. On peut fermer les yeux un moment, hésiter tout un autre, mais il vient un instant ou il faut regarder la vérité en face. Et quelle vérité. Natasha s’y refusait parce qu’elle ne pouvait croire que ce serait réciproque. Alivan était pourtant bien connu des lieux. Elle savait qu’il ne restait pas fidèle. D’accord il venait souvent la voir à elle et juste elle. Mais cela ne justifiait rien n’est ce pas. Et pourtant depuis quelques instant, la jeune femme ne cessait d’espérer de penser que ce pourrait être réciproque. Son attitude était trop différente de d’habitude pour qu’il n’y ait pas un problème.
Le simple fait qu’il lui dit qu’il ne voulait pas la laisser, l’a rendit heureuse. Elle lui sourit. Non, elle ne voulait pas qu’il s’en aille. Elle savait pourquoi maintenant. Enfin, disons qu’à part ça, il n’y avait pas d’autres explications. « Aurais-tu quelques choses à me dire ? ». Voilà une phrase qui ramena sur terre. Instinctivement, elle voulait dire oui. Ses yeux parlaient sûrement d’eux même. Mais elle ne savait pas si c’était la chose à dire. Comment réagirait-il ? Que ferait-il ? Alivan ne manquait pas d’amantes, il n’avait jamais été fidèle à une femme. Au savoir de Natasha, il n’avait pas non plus, eu de relations sérieuses. Pourrait-il accepter ses sentiments à elle ? Et puis de son côté à elle justement. N’était-elle pas stupide de songer même qu’à s’attacher plus que de raisons à un homme qui avait été et était toujours d’ailleurs son client ? Jamais Vic n’accepterait de toute façon.
*Oui mais elle n’est pas obliger de le savoir.* Ah, les petites voix dans la tête. Elle nous souffle de ses réponses, toutes simples, toutes évidentes, mais souvent très déraisonnable. *Puis de toute façon, c’est trop tard pour ne pas t’attacher.* Ca c’était un fait, quand on se rend compte que l’on est amoureux, il est déjà trop tard. Il n’y avait plus rien à faire, à part se forcer et encore. Dans quels intérêts ? C’était mal connaître Natasha que de penser qu’elle se laisserait raisonner par des règles et des interdits.
« Oui, j’ai quelque choses à te dire. »
Natasha avait réfléchi, quelques minutes ou quelques secondes, elle ne savait guère, mais maintenant, ses yeux aux lentilles rouges, plongés dans ceux bleus d’Alivan, elle lui dit la vérité.
« Je t’aime. »
Sans détourner le regard, elle attendait la sentence, la réponse. Elle ne savait pas ce qu’il allait dire ou faire, elle ignorait même ce qu’elle ferait. Mais ce qui est fait est fait, et maintenant elle craignait de n’avoir commis une erreur. Une erreur irréparable…
Il emmena Natasha sur le lit et s’assit à califourchon sur elle. Le cœur de la jeune femme se remit à battre très rapidement, un sourire éclairant son visage. Cette situation déjà, elle connaissait bien mieux. Ca elle savait gérer. Quand la bouche de son amant se referma sur un de ces seins, elle eut un frisson. Elle aimait le sentir sur elle, que ce soit sa main sur un de ses seins ou sa bouche sur l’autre. Ses tétons s’étaient durcis, il l’avait de nouveaux embrassé, mais plus tendrement. Natasha comprit que les choses se calmaient à nouveau. Elle profita du baiser et hésiter à se détacher de lui quand elle sentit le contact de leurs bouches se défaire peu à peu. Ils se retrouvèrent face à face, elle attendait qu’il parle.
A croire que ce soir, ni l’un ni l’autre ne savait réellement ce qu’ils désiraient. Natasha alternait tour à tour, les phases de questionnements avec celle d’envies. D’un côté, elle souhaitait continuer, comme ils le faisaient d’habitude. Faire l’amour, crier de plaisir, comme à chaque fois qu’ils le faisaient mais s’un autre côté, une petite voix lui soufflait de façon très lointaine mais très claire, que peut-être, cette nuit, elle ne devrait pas faire comme d’habitude. L’attitude d’Alivan l’avait d’ailleurs poussé en ce sens. En lui disant « doucement », il lui avait fait comprendre qu’il voulait prendre son temps. Et elle avait alors d’avantage réfléchie. Mettant de côté sa partie insolente et têtue qui voulait faire comme d’habitude, parce que le changement ça fait peur, et celle plus calme qui voulait absolument comprendre. Mais comprendre quoi ? D’une certaine façon Natasha le savait. On peut fermer les yeux un moment, hésiter tout un autre, mais il vient un instant ou il faut regarder la vérité en face. Et quelle vérité. Natasha s’y refusait parce qu’elle ne pouvait croire que ce serait réciproque. Alivan était pourtant bien connu des lieux. Elle savait qu’il ne restait pas fidèle. D’accord il venait souvent la voir à elle et juste elle. Mais cela ne justifiait rien n’est ce pas. Et pourtant depuis quelques instant, la jeune femme ne cessait d’espérer de penser que ce pourrait être réciproque. Son attitude était trop différente de d’habitude pour qu’il n’y ait pas un problème.
Le simple fait qu’il lui dit qu’il ne voulait pas la laisser, l’a rendit heureuse. Elle lui sourit. Non, elle ne voulait pas qu’il s’en aille. Elle savait pourquoi maintenant. Enfin, disons qu’à part ça, il n’y avait pas d’autres explications. « Aurais-tu quelques choses à me dire ? ». Voilà une phrase qui ramena sur terre. Instinctivement, elle voulait dire oui. Ses yeux parlaient sûrement d’eux même. Mais elle ne savait pas si c’était la chose à dire. Comment réagirait-il ? Que ferait-il ? Alivan ne manquait pas d’amantes, il n’avait jamais été fidèle à une femme. Au savoir de Natasha, il n’avait pas non plus, eu de relations sérieuses. Pourrait-il accepter ses sentiments à elle ? Et puis de son côté à elle justement. N’était-elle pas stupide de songer même qu’à s’attacher plus que de raisons à un homme qui avait été et était toujours d’ailleurs son client ? Jamais Vic n’accepterait de toute façon.
*Oui mais elle n’est pas obliger de le savoir.* Ah, les petites voix dans la tête. Elle nous souffle de ses réponses, toutes simples, toutes évidentes, mais souvent très déraisonnable. *Puis de toute façon, c’est trop tard pour ne pas t’attacher.* Ca c’était un fait, quand on se rend compte que l’on est amoureux, il est déjà trop tard. Il n’y avait plus rien à faire, à part se forcer et encore. Dans quels intérêts ? C’était mal connaître Natasha que de penser qu’elle se laisserait raisonner par des règles et des interdits.
« Oui, j’ai quelque choses à te dire. »
Natasha avait réfléchi, quelques minutes ou quelques secondes, elle ne savait guère, mais maintenant, ses yeux aux lentilles rouges, plongés dans ceux bleus d’Alivan, elle lui dit la vérité.
« Je t’aime. »
Sans détourner le regard, elle attendait la sentence, la réponse. Elle ne savait pas ce qu’il allait dire ou faire, elle ignorait même ce qu’elle ferait. Mais ce qui est fait est fait, et maintenant elle craignait de n’avoir commis une erreur. Une erreur irréparable…
Natasha A. Rolinskof- Messages : 25
Localisation : Rue Kitrovka
Re: [Flashback, X] Sauf que... [PV Natasha A. Rolinskof]
Alivan Bosvoski Sam 9 Jan - 6:45
Il eut un instant de silence après sa question. D'appréhension ? Il attendit sous elle, sans bouger. Il ne voulait pas la brusquer ni la pousser. Quand elle lui répondit enfin, il eut un doux sourire bienveillant. C'était bien ce qu'il craignait. Dans un sens, il se doutait bien de cette réponse… Il ne "l'espérait" pas vraiment, car en cet instant il ne voyait pas trop la différence qu'il pouvait avoir entre le fait qu'ils disent ces mots ou non. Après tout, il pariait le même prix, Vic ne la laisserait pas partir et ils feraient toujours plus ou moins la même chose. Mais il ressentit tout de même une étrange chaleur en cet instant, un sentiment de contentement assez… Agréable.
Sans doute parce qu'il savait qu'elle ne jouait pas. Qu'elle ne disait pas ça à chaque client qui passait dans sa chambre. C'était ce qu'il aimait vraiment chez elle... Il avait trouvé chez cette prostituée la fille la plus pure de Moscou. Là seule qui ait encore ce semblant d'innocence, de douceur, et surtout, il la savait totalement incapable de mensonge. Et… Il avait besoin de ça, en un sens. C'était son contrepoids parfait. Lui qui prenait tant de plaisir dans le luxe et la luxure, la souillure et la perversité… L'aimerait-elle vraiment si elle connaissait sa nature de part en part ? Les yeux dans ceux brillants de Natasha, Alivan se surprit à l'en croire bien capable.
Mais il réfléchit aussi immédiatement aux implications. Vic allait forcément le savoir un jour ou l'autre. Elle n'accepterait jamais ça, et risque fort de faire de sa vie un enfer… Il en ressentit presque un début d'affliction. À voir comme elle se comportait, elle ne s'en plaindrait jamais. Il pourra de toute façon en parler à la maquerelle en temps et en heure. Sans doute pourra-t-il apaiser un tout petit peu son courroux. Il aimait à penser qu'en vertu de leur "passé commun", il était une des rares personnes dans cette ville pouvant se targuer de la plus petite influence sur la puissante maîtresse de ses lieux… Et si son esprit divagua, un très court instant sur les moyens dont il allait user sur son ancienne amante pour la convaincre de laisser son employée en paix, ses pensées revinrent bien vite sur la belle Natasha. S'il devait être présent plus souvent avec elle pour lui adoucir un peu cette épreuve à venir, après tout, c'est un sacrifice auquel il consentirait sans doute de très bonnes grâces…
Il passa une main dans la chevelure rousse, remettant une mèche en place derrière son oreille, puis lui murmura, toujours les yeux dans les yeux, sur un ton plein de douceur et de malice, son sourire s'élargissant à peine…
"…Tu es si belle, en cet instant, je pourrais te croquer tout entière…"
Alivan savait très bien qu'une telle "confession" attendait une autre réponse… La bribe de raison qui lui restait l'empêchait quelque peu de la lui donner. Il se connaissait trop bien pour savoir que l'amour en lui n'existait vraiment que pour sa jumelle, et que les autres devaient se contenter des restes avant qu'il change d'avis. Et briser le cœur de la jeune femme dont la délicieuse poitrine était posée sur son torse ne lui paraissait pas un jeu très amusant. Et dans le même temps… Après tout, elle le troublait étrangement. Alors pour ce que ce mot coûtait… Il avait envie de la voir rayonner de bonheur. Et se doutait que ça serait sans doute un très bon moyen.
Comme au ralenti, il approcha ses lèvres de l'oreille qu'il avait dégagée précédemment. Il resta un instant silencieux pour mieux jouer avec son trouble avant de lui souffler dans un soupir si bas qu'on aurait dit qu'on les écoutait et qu'il allait lui confier le plus précieux des secrets.
"- Moi aussi, je t'aime, Natasha, ma belle poupée de porcelaine…"
Il vint la regarder dans les yeux un instant, qu'elle puisse voir que ça n'était pas une taquinerie, mais bien des paroles sincères, et sans attendre, il revint embrasser ses lèvres d'un long, langoureux et passionné baiser… Un vrai baiser d'amour. Il ferma les yeux, ses doigts se glissant à nouveau dans la chevelure pour l'approfondir encore, alors que presque inconsciemment, ses jambes vinrent se frotter, s'emmêler autour de celle de sa belle-de-nuit. Contre sa belle robe, Natasha pouvait sans doute sentir sous le pantalon de l'autocrate son désir devenir des plus évident. Tout ça l'avait mis étrangement en appétit, mais pour lui prouver son amour à sa manière, Alivan avait une petite idée derrière la tête… Il interrompit, temporairement et à contrecœur, leur délicieuse étreinte, pour lui murmurer, plus malicieux que jamais.
"- …Et pour te le montrer… J'ai envie qu'on change un peu cette nuit, au moins pour commencer… Je veux jouer ton client ce soir et réaliser tes fantasmes…"
Il lui jeta dans les yeux un regard des plus brûlant de désir, avant de poser un doigt sur ses lèvres avec un tout petit rire.
"…Et interdiction de répondre quelque chose du genre "ton amour me suffit" ou "ce que je désire moi c'est seulement ton plaisir", je te connais !..."
Il joignit le geste à la parole, ses mains glissant le long de dos pour aller caresser dans un mélange de douceur et d'insistance le délicieux postérieur de la jeune femme par-dessus sa robe, alors qu'il lui gémit presque pour l'allumer le plus possible.
"…Je veux être ton jouet, ce soir, mon cœur… Dis-moi ce que tu veux que je te fasse…"
Toujours les yeux dans les yeux, plus enflammés de désir que jamais, Alivan la caressait de plus en plus passionnément, ses doigts se glissant sous l'étoffe pour ne plus être séparé de la peau douce du bas de ses reins que par une culotte en dentelle, ne résistant pas à l'envi, avant même sa réponse, de la gratifier d'un nouveau baiser des plus passionné, venant chercher sa langue sans se coller trop prêt pour la laisser se dégager et lui donner ses "ordres". En attendant, ses chevilles glissèrent lentement du haut en bas de celles de la jeune femme, son bassin ondulant doucement contre le sien pour augmenter la température de leur corps et mieux sentir sa poitrine le frôler… Pour consommer leur amour pour la première fois réellement, et offrir ce petit cadeau d'union à sa belle… Comme il se doit.
Sans doute parce qu'il savait qu'elle ne jouait pas. Qu'elle ne disait pas ça à chaque client qui passait dans sa chambre. C'était ce qu'il aimait vraiment chez elle... Il avait trouvé chez cette prostituée la fille la plus pure de Moscou. Là seule qui ait encore ce semblant d'innocence, de douceur, et surtout, il la savait totalement incapable de mensonge. Et… Il avait besoin de ça, en un sens. C'était son contrepoids parfait. Lui qui prenait tant de plaisir dans le luxe et la luxure, la souillure et la perversité… L'aimerait-elle vraiment si elle connaissait sa nature de part en part ? Les yeux dans ceux brillants de Natasha, Alivan se surprit à l'en croire bien capable.
Mais il réfléchit aussi immédiatement aux implications. Vic allait forcément le savoir un jour ou l'autre. Elle n'accepterait jamais ça, et risque fort de faire de sa vie un enfer… Il en ressentit presque un début d'affliction. À voir comme elle se comportait, elle ne s'en plaindrait jamais. Il pourra de toute façon en parler à la maquerelle en temps et en heure. Sans doute pourra-t-il apaiser un tout petit peu son courroux. Il aimait à penser qu'en vertu de leur "passé commun", il était une des rares personnes dans cette ville pouvant se targuer de la plus petite influence sur la puissante maîtresse de ses lieux… Et si son esprit divagua, un très court instant sur les moyens dont il allait user sur son ancienne amante pour la convaincre de laisser son employée en paix, ses pensées revinrent bien vite sur la belle Natasha. S'il devait être présent plus souvent avec elle pour lui adoucir un peu cette épreuve à venir, après tout, c'est un sacrifice auquel il consentirait sans doute de très bonnes grâces…
Il passa une main dans la chevelure rousse, remettant une mèche en place derrière son oreille, puis lui murmura, toujours les yeux dans les yeux, sur un ton plein de douceur et de malice, son sourire s'élargissant à peine…
"…Tu es si belle, en cet instant, je pourrais te croquer tout entière…"
Alivan savait très bien qu'une telle "confession" attendait une autre réponse… La bribe de raison qui lui restait l'empêchait quelque peu de la lui donner. Il se connaissait trop bien pour savoir que l'amour en lui n'existait vraiment que pour sa jumelle, et que les autres devaient se contenter des restes avant qu'il change d'avis. Et briser le cœur de la jeune femme dont la délicieuse poitrine était posée sur son torse ne lui paraissait pas un jeu très amusant. Et dans le même temps… Après tout, elle le troublait étrangement. Alors pour ce que ce mot coûtait… Il avait envie de la voir rayonner de bonheur. Et se doutait que ça serait sans doute un très bon moyen.
Comme au ralenti, il approcha ses lèvres de l'oreille qu'il avait dégagée précédemment. Il resta un instant silencieux pour mieux jouer avec son trouble avant de lui souffler dans un soupir si bas qu'on aurait dit qu'on les écoutait et qu'il allait lui confier le plus précieux des secrets.
"- Moi aussi, je t'aime, Natasha, ma belle poupée de porcelaine…"
Il vint la regarder dans les yeux un instant, qu'elle puisse voir que ça n'était pas une taquinerie, mais bien des paroles sincères, et sans attendre, il revint embrasser ses lèvres d'un long, langoureux et passionné baiser… Un vrai baiser d'amour. Il ferma les yeux, ses doigts se glissant à nouveau dans la chevelure pour l'approfondir encore, alors que presque inconsciemment, ses jambes vinrent se frotter, s'emmêler autour de celle de sa belle-de-nuit. Contre sa belle robe, Natasha pouvait sans doute sentir sous le pantalon de l'autocrate son désir devenir des plus évident. Tout ça l'avait mis étrangement en appétit, mais pour lui prouver son amour à sa manière, Alivan avait une petite idée derrière la tête… Il interrompit, temporairement et à contrecœur, leur délicieuse étreinte, pour lui murmurer, plus malicieux que jamais.
"- …Et pour te le montrer… J'ai envie qu'on change un peu cette nuit, au moins pour commencer… Je veux jouer ton client ce soir et réaliser tes fantasmes…"
Il lui jeta dans les yeux un regard des plus brûlant de désir, avant de poser un doigt sur ses lèvres avec un tout petit rire.
"…Et interdiction de répondre quelque chose du genre "ton amour me suffit" ou "ce que je désire moi c'est seulement ton plaisir", je te connais !..."
Il joignit le geste à la parole, ses mains glissant le long de dos pour aller caresser dans un mélange de douceur et d'insistance le délicieux postérieur de la jeune femme par-dessus sa robe, alors qu'il lui gémit presque pour l'allumer le plus possible.
"…Je veux être ton jouet, ce soir, mon cœur… Dis-moi ce que tu veux que je te fasse…"
Toujours les yeux dans les yeux, plus enflammés de désir que jamais, Alivan la caressait de plus en plus passionnément, ses doigts se glissant sous l'étoffe pour ne plus être séparé de la peau douce du bas de ses reins que par une culotte en dentelle, ne résistant pas à l'envi, avant même sa réponse, de la gratifier d'un nouveau baiser des plus passionné, venant chercher sa langue sans se coller trop prêt pour la laisser se dégager et lui donner ses "ordres". En attendant, ses chevilles glissèrent lentement du haut en bas de celles de la jeune femme, son bassin ondulant doucement contre le sien pour augmenter la température de leur corps et mieux sentir sa poitrine le frôler… Pour consommer leur amour pour la première fois réellement, et offrir ce petit cadeau d'union à sa belle… Comme il se doit.
Alivan Bosvoski- Messages : 23
Re: [Flashback, X] Sauf que... [PV Natasha A. Rolinskof]
Natasha A. Rolinskof Mer 20 Jan - 20:24
Pour peu, l’on pourrait croire que le temps s’était arrêté. Natasha attendait, immobile et inquiète. Elle essayait de ne rien laisser transparaître, mais cela était une chose plus aisée à penser qu’à réaliser. Après tout comment réagirait-elle si, suite à sa question, Alivan décidait de s’en aller ? S’il partait et ne revenait plus. Que ferait-elle ? Elle essayait de ne pas envisager cette possibilité, mais étant donné qu’elle représentait sa plus grande crainte actuellement, elle ne pouvait faire autrement. Alors que ferait-elle ? Elle ne pourrait l’empêcher de partir n’est-ce pas ? Pourquoi ? Parce qu’elle n’en n’avait pas le droit, on ne tombe pas amoureuse de ses clients. Parce qu’elle n’allait pas le supplier, il n’en partirait sûrement que plus vite. Ou plutôt parce qu’elle mettrait trop de temps à vraiment réaliser les choses, ou même parce que la situation pourrait sembler … normale. Un client peut dire qu’il aime, les belles n’y font guerre attention, dans la chaleur du moment, les mots sont parfois peu maîtrisés. De plus le mot aimer peu avoir bien des sens, dans les relations Belle/clients, il ne prend guère le sens des sentiments, et puis les belles font tout pour être aimée, pour que le client revienne…Mais quand une belle dit « je t’aime », les choses se compliquent. Où elle fait une farce de très mauvais goût, mais bien rare étaient celles qui jouaient à ce jeux, ou de pauvres idiotes espéraient une ascension, avoir mis le grappin sur le sot qui les ferait changer de vies ou pire encore celles sui étaient sincères. Après tout quelle idée de tomber amoureuse d’un homme qui ne vient que pour soulager ses besoins primaires. Quand un homme entre à la maison close, ce n’est certainement pas pour y trouver une épouse. « Je t’aime » n’est donc pas vraiment le genre de chose qu’il voulait entendre.
Mais là la situation était différente. Mais bien sûre, elle est toujours différente quand il s’agit de soi. Et pourtant en quoi l’était-elle ? Elle était une prostituée, il était un client, rien de différents à cela. Elle avait déjà de nombreux hommes à son actif et en aurait certainement bien d’autres avec le temps. Quand à Alivan, lui aussi avait bien plus d’une conquête, bien plus d’une femme et bien plus d’une prostituée pour ses loisirs. Quel avenir y aurait-il dans cette histoire ? Peut-être aucun, mais quoi qu’il en soit, Natasha espérait. Elle faisait partie de ces gens têtue qui croit jusqu’au bout qu’un miracle peut se produire. Aussi Natasha restait elle accrochée aux lèvres d’Alivan. Attendant de lui une réponse. La première phrase qu’il lui dit, bien qu’en tant normale aurait fait sourire la jeune femme et lui aurait donné beaucoup d’idée peu vertueuses, ne réussit à ce moment qu’à faire accélérer son cœur d’avantage. Etait-ce un refus déguisé ? Ou une simple phrase la complimentant. Natasha ne voulait guère réfléchir, elle voulait seulement une réponse. Aussi ne dit-elle rien. Elle attendit patiemment ou plutôt désespérément. Elle savait déjà que cette nuit resterait à jamais gravé dans son esprit. Celle-ci pouvait être le plus belle comme la pire de sa vie. Elle regarda Alivan s’approcha de son visage, elle sentit la chaleur de sa respiration non loin de son oreille. Son cœur accéléra encore, si cela continuait ainsi, il allait sortir se sa poitrine. Puis elle les entendit, ces mots, ces simples mots qui suffirent à la faire rayonner. Elle fût d’abord surprise, car au fond elle avait douté, mais bien vite elle rayonna. Elle avait eu si peur. Elle n’analysait plus rien. Quelle importance, il avait dit qu’il l’aimait, c’était tous ce qui comptait.
« Alivan, je suis si heureuse. » souffla t’elle simplement alors qu’il reculait un peu son visage. Elle plongea ses yeux dans le regard de son amant et elle y lut ce qui lui semblait la vérité. Il l’aimait. Cela peut sembler niais et cela l’est sans doute. Cependant Natasha s’en fichait un peu pour le moment. Ils s’embrassèrent, longuement et tendrement. Natasha aurait pu continuer ainsi longtemps, elle aimait tant ça. Ce soir tout semblait plus beau, plus agréable encore que d’habitude. C’était sûrement ça l’amour. Un vrai amour, le premier réel de Natasha. Des hommes bien qu’elle en ait connu beaucoup et certain durant quelques temps, jamais aucun ne lui avait autant importé qu’Alivan.
Les jambes d’Alivan s’enroulèrent autour de la jeune femme, la serrant encore plus près de lui. Si ces lèvres n’avaient pas été prises, la belle aurait sans doute esquissée un sourire en sentant à travers son pantalon, le sexe de son amant se faire plus présent. Natasha devait bien avouer que de son côté aussi l’envie se faisait plus présente. La chaleur revenait bien vite, maintenant que plus aucunes inquiétudes ou incompréhension ne planaient autour d’elle. C’est à regret qu’elle laissa les lèvres d’Alivan se détacher des siennes.
Elle écouta Alivan, le sourire aux lèvres. Ils allaient inverser les rôles, voilà qui allait la changer. Ce serait bien la première fois qu’elle serait cliente. Elle commença à parler :
« C’est intéressant mais… »
Il l’interrompit posant un doit sur ses lèvres, lui disant les réponses qu’il ne voulait pas entendre. Oui, il la connaissait, sûrement mieux que tous les autres hommes qui avaient partagé son lit. Rien de bien étonnant, elle n’avait jamais été avec Alivan comme elle avait été avec les autres.
Alivan commença à la caresser en lui passant la main sous les fesses. Elle, toujours à cheval sur lui, posa ses mains sur la poitrine de son amant pour lui caresser le torse en attendant qu’il est finit. Lui remonta vers le bas de ses reins tout en lui parlant ou même gémissant. Le cœur de Natasha s’emballait à nouveau mais pour des raisons bien différentes cette fois ci. Elle écoutait avec attention ce qu’il lui disait, des images lui passant par l’esprit. Des images de plaisirs de plus en plus intenses. Léger avant goût imaginaire de la façon dont finiraient les choses cette nuit là. Natasha réfléchit quelques secondes à ce qu’elle pourrait demander tout en profitant des caresses qu’il lui procurait.
Elle se pencha vers son amant pour se retrouver très près de son visage plongeant ses yeux brillant de désirs dans ceux d’Alivan.
« Je veux…Je veux la meilleure nuit que tu puisses m’offrir. Que tu me fasses tout ce que tu sais si bien faire. Ce qui fait de toi le plus célèbre amant de ces lieux. Ce soir je profite, je te laisse entièrement agir. »
Elle déposa un léger baiser au coin de ses lèvres.
« Tu pourrais peut-être commencer par nous déshabiller…Que l’on soit plus à l’aise. »
Mais là la situation était différente. Mais bien sûre, elle est toujours différente quand il s’agit de soi. Et pourtant en quoi l’était-elle ? Elle était une prostituée, il était un client, rien de différents à cela. Elle avait déjà de nombreux hommes à son actif et en aurait certainement bien d’autres avec le temps. Quand à Alivan, lui aussi avait bien plus d’une conquête, bien plus d’une femme et bien plus d’une prostituée pour ses loisirs. Quel avenir y aurait-il dans cette histoire ? Peut-être aucun, mais quoi qu’il en soit, Natasha espérait. Elle faisait partie de ces gens têtue qui croit jusqu’au bout qu’un miracle peut se produire. Aussi Natasha restait elle accrochée aux lèvres d’Alivan. Attendant de lui une réponse. La première phrase qu’il lui dit, bien qu’en tant normale aurait fait sourire la jeune femme et lui aurait donné beaucoup d’idée peu vertueuses, ne réussit à ce moment qu’à faire accélérer son cœur d’avantage. Etait-ce un refus déguisé ? Ou une simple phrase la complimentant. Natasha ne voulait guère réfléchir, elle voulait seulement une réponse. Aussi ne dit-elle rien. Elle attendit patiemment ou plutôt désespérément. Elle savait déjà que cette nuit resterait à jamais gravé dans son esprit. Celle-ci pouvait être le plus belle comme la pire de sa vie. Elle regarda Alivan s’approcha de son visage, elle sentit la chaleur de sa respiration non loin de son oreille. Son cœur accéléra encore, si cela continuait ainsi, il allait sortir se sa poitrine. Puis elle les entendit, ces mots, ces simples mots qui suffirent à la faire rayonner. Elle fût d’abord surprise, car au fond elle avait douté, mais bien vite elle rayonna. Elle avait eu si peur. Elle n’analysait plus rien. Quelle importance, il avait dit qu’il l’aimait, c’était tous ce qui comptait.
« Alivan, je suis si heureuse. » souffla t’elle simplement alors qu’il reculait un peu son visage. Elle plongea ses yeux dans le regard de son amant et elle y lut ce qui lui semblait la vérité. Il l’aimait. Cela peut sembler niais et cela l’est sans doute. Cependant Natasha s’en fichait un peu pour le moment. Ils s’embrassèrent, longuement et tendrement. Natasha aurait pu continuer ainsi longtemps, elle aimait tant ça. Ce soir tout semblait plus beau, plus agréable encore que d’habitude. C’était sûrement ça l’amour. Un vrai amour, le premier réel de Natasha. Des hommes bien qu’elle en ait connu beaucoup et certain durant quelques temps, jamais aucun ne lui avait autant importé qu’Alivan.
Les jambes d’Alivan s’enroulèrent autour de la jeune femme, la serrant encore plus près de lui. Si ces lèvres n’avaient pas été prises, la belle aurait sans doute esquissée un sourire en sentant à travers son pantalon, le sexe de son amant se faire plus présent. Natasha devait bien avouer que de son côté aussi l’envie se faisait plus présente. La chaleur revenait bien vite, maintenant que plus aucunes inquiétudes ou incompréhension ne planaient autour d’elle. C’est à regret qu’elle laissa les lèvres d’Alivan se détacher des siennes.
Elle écouta Alivan, le sourire aux lèvres. Ils allaient inverser les rôles, voilà qui allait la changer. Ce serait bien la première fois qu’elle serait cliente. Elle commença à parler :
« C’est intéressant mais… »
Il l’interrompit posant un doit sur ses lèvres, lui disant les réponses qu’il ne voulait pas entendre. Oui, il la connaissait, sûrement mieux que tous les autres hommes qui avaient partagé son lit. Rien de bien étonnant, elle n’avait jamais été avec Alivan comme elle avait été avec les autres.
Alivan commença à la caresser en lui passant la main sous les fesses. Elle, toujours à cheval sur lui, posa ses mains sur la poitrine de son amant pour lui caresser le torse en attendant qu’il est finit. Lui remonta vers le bas de ses reins tout en lui parlant ou même gémissant. Le cœur de Natasha s’emballait à nouveau mais pour des raisons bien différentes cette fois ci. Elle écoutait avec attention ce qu’il lui disait, des images lui passant par l’esprit. Des images de plaisirs de plus en plus intenses. Léger avant goût imaginaire de la façon dont finiraient les choses cette nuit là. Natasha réfléchit quelques secondes à ce qu’elle pourrait demander tout en profitant des caresses qu’il lui procurait.
Elle se pencha vers son amant pour se retrouver très près de son visage plongeant ses yeux brillant de désirs dans ceux d’Alivan.
« Je veux…Je veux la meilleure nuit que tu puisses m’offrir. Que tu me fasses tout ce que tu sais si bien faire. Ce qui fait de toi le plus célèbre amant de ces lieux. Ce soir je profite, je te laisse entièrement agir. »
Elle déposa un léger baiser au coin de ses lèvres.
« Tu pourrais peut-être commencer par nous déshabiller…Que l’on soit plus à l’aise. »
Natasha A. Rolinskof- Messages : 25
Localisation : Rue Kitrovka
Re: [Flashback, X] Sauf que... [PV Natasha A. Rolinskof]
Alivan Bosvoski Mer 27 Jan - 13:45
Les caresses d'Alivan se firent sans cesse plus douces, plus chaudes, plus lentes. Il sentait son coeur battre étrangement. Il ne pouvait pas vraiment l'aimer... Si ? C'était différent qu'avec sa soeur. Il aimait plus que tout le délicieux jeu malsain, leur relation si passionnelle, fusionnelle et interdite, oui, il mourrait et tuerait cent millions de fois pour elle, même Garence, même Vic et même Natasha. Mais... En cet instant... Il se sentait étrangement... Emu. Troublé. Plein d'une envie qu'il s'ignorait jusqu'ici. Comme si la déclaration de la prostituée l'avait vraiment touché... Au point d'avoir ouvert quelque chose en lui. Et pourtant, ça n'était pas la première fois qu'il entendait ces mots, ni dans la bouche d'une femme, ni dans celle d'une belle-de-nuit. Pourtant, sur un point de vue purement sexuel, elle n'était pas à la hauteur de Vic. Et pourtant, les doigts de l'autocrate caressèrent lentement le visage de la belle rousse et la gratifia d'un nouveau lent, long et passionné baisé. Pourtant, il ferma à peine les yeux alors que ses lèvres se refermèrent sur celle de la jeune femme, et sa langue vint caresser avec une nouvelle passion, amoureusement, celle de Natasha, plongeant ses doigts dans la chevelure, de part et d'autre de son visage.
Les yeux d'Alivan virent se planter dans ceux de la jeune femme, la couvant d'un regard mêlant douceur et une flamme de passion et de désir... De plus en plus présente. Ses doigts glissèrent à nouveau sur le corps, la poitrine, les côtés, et lui souriant tendrement, encore contre ses lèvres, lui murmura.
"Voilà un programme des plus appétissant... Alors... Fais-moi plaisir... Et ne te retiens pas... Cette nuit... Sois aussi sauvage que ton instinct te le dicte... Naturelle... Je ne veux pas que tu joues... Je te veux entièrement naturelle. Telle que tu es vraiment..."
Il eut un large sourire plein de douceur, reculant un petit peu son visage. D'une voix pleine de malice, parfaitement concient de l'effet qu'il allait lui faire.
"J'aimerais découvrir encore mieux qui tu es vraiment... T'apprendre... Te parler de nuits entières... Et découvrir les vraies sensations de ton corps... Et comment te procurer un plaisir encore bien plus beau et intense... Pour t'aimer tel que tu es..."
Glissant ses baisers doucement dans le buste de la jeune femme, il lui soupira un "je t'aime" brûlant, de fond de gorge, commençant à couvrir la chaire d'un des lourds seins d'un si beau blanc de la jeune femme de ses lèvres, avant de laisser sa langue jouer et rouler autour d'une pointe avec gourmandise. Pendant ce temps, ses mains passant chaudement sur la peau du dos, pour faire glisser lentement la belle robe de la jeune femme, lui laissant néanmoins ses collants de soie, culotte de dentelle et porte-jarretelles. Ses mains la débarrassèrent du vêtement alors que sa bouche passait sur la cible jumelle, lui murmurant contre la peau.
"Dommage... Tu es si belle dans cette robe... Si nous sortons ensemble dans mockba, j'aimerais que tu la mettes... Ou la noire et rouge avec toutes ses dentelles... Elles te vont si bien..."
Il soupira tout doucement sur un sein légèrement humidifié par sa salive, juste par envie de sentir son corps frissonner. Bien sûr, dans un sens, il s'en servait comme d'un jouet... Mais de l'autre, il avait une réelle envie de rendre ce soir spécial, de la combler plus encore que d'habitude. Il vint chercher les doigts de la jeune femme dans ses mains, usant de ses mains et les guidant comme si c'était les siennes pour faire glisser son propre pantalon sur ses chevilles, remontant ses lèvres pour les embrasser passionnément. Sentir les mains de sa belle poupée de porcelaine le déshabiller, soumise à ses gestes, parcourir ainsi sa peau, avait quelque chose de délicieusement grisant. Encore un jeu qui vient de sa soeur, qu'ils pratiquaient systématiquement, chacun usant des phalanges de l'autre pour accomplir ses fantasmes sur le corps de son partenaire...
Alors qu'il se débarrassait à son tour de son pantalon, ne gardant que son boxer, Alivan se rendit compte d'une vérité de plus en plus... Étonnante. Il répétait avec elle des gestes qu'il ne réservait qu'à son affolante jumelle... Est-ce que ça disait plus sur son désir, ou son amour... Il l'ignorait. Mais sans même réfléchir, il reproduisait le schéma habituel de leurs jeux favoris, ceux qui les poussaient jusqu'à l'épuisement de ce que leurs corps pouvaient supporter, jusqu'à les faire hurler de plaisir à en perdre la tête... Alors, il glissa sous le corps de sa belle, se retournant en quelques secondes à peine, s'installant dans une de ses positions préférées, le nez devant l'intimité de son amour, et son boxer se présentant, quelque peu maladroitement, devant celui de la jeune femme.
Et Alivan de commencer à déposer de longs, lents, délicieux baisers du bout des lèvres sur l'intérieur des cuisses et le sous-vêtement de dentelle, humant le parfum de paradis s'en échappant. La culotte se parait doucement de petites zones transparentes, trahissant son plaisir grandissant. Alors, Alivan redoubla ses efforts, récupérant un peu du divin nectar d'un coup de langue au dessus du vêtement. Autant pour attiser la flamme que pour la sentir toujours plus brûlante contre lui... La lingerie semblait désormais comme trempée, ne cachant plus grand-chose de son contenu. Il posa un baiser plus langoureux sur le bouton à son sommet, soufflant à nouveau doucement sur la zone avant de lui murmurer, alors que ses mains passèrent sur le fessier, sous le magnifique sous-vêtement, s'apprêtant à le retirer dans de lentes griffures passionnées.
"Mon coeur... Alors... Jusqu'où irais-tu par amour pour moi... Quitter ces lieux... ?"
Il avait envie de lui apporter du plaisir, maintenant, tout de suite... Mais son envie de la faire languir, la rendre folle, était encore bien plus forte... Et de savoir les initiatives qu'elle prendra à son tour.
Les yeux d'Alivan virent se planter dans ceux de la jeune femme, la couvant d'un regard mêlant douceur et une flamme de passion et de désir... De plus en plus présente. Ses doigts glissèrent à nouveau sur le corps, la poitrine, les côtés, et lui souriant tendrement, encore contre ses lèvres, lui murmura.
"Voilà un programme des plus appétissant... Alors... Fais-moi plaisir... Et ne te retiens pas... Cette nuit... Sois aussi sauvage que ton instinct te le dicte... Naturelle... Je ne veux pas que tu joues... Je te veux entièrement naturelle. Telle que tu es vraiment..."
Il eut un large sourire plein de douceur, reculant un petit peu son visage. D'une voix pleine de malice, parfaitement concient de l'effet qu'il allait lui faire.
"J'aimerais découvrir encore mieux qui tu es vraiment... T'apprendre... Te parler de nuits entières... Et découvrir les vraies sensations de ton corps... Et comment te procurer un plaisir encore bien plus beau et intense... Pour t'aimer tel que tu es..."
Glissant ses baisers doucement dans le buste de la jeune femme, il lui soupira un "je t'aime" brûlant, de fond de gorge, commençant à couvrir la chaire d'un des lourds seins d'un si beau blanc de la jeune femme de ses lèvres, avant de laisser sa langue jouer et rouler autour d'une pointe avec gourmandise. Pendant ce temps, ses mains passant chaudement sur la peau du dos, pour faire glisser lentement la belle robe de la jeune femme, lui laissant néanmoins ses collants de soie, culotte de dentelle et porte-jarretelles. Ses mains la débarrassèrent du vêtement alors que sa bouche passait sur la cible jumelle, lui murmurant contre la peau.
"Dommage... Tu es si belle dans cette robe... Si nous sortons ensemble dans mockba, j'aimerais que tu la mettes... Ou la noire et rouge avec toutes ses dentelles... Elles te vont si bien..."
Il soupira tout doucement sur un sein légèrement humidifié par sa salive, juste par envie de sentir son corps frissonner. Bien sûr, dans un sens, il s'en servait comme d'un jouet... Mais de l'autre, il avait une réelle envie de rendre ce soir spécial, de la combler plus encore que d'habitude. Il vint chercher les doigts de la jeune femme dans ses mains, usant de ses mains et les guidant comme si c'était les siennes pour faire glisser son propre pantalon sur ses chevilles, remontant ses lèvres pour les embrasser passionnément. Sentir les mains de sa belle poupée de porcelaine le déshabiller, soumise à ses gestes, parcourir ainsi sa peau, avait quelque chose de délicieusement grisant. Encore un jeu qui vient de sa soeur, qu'ils pratiquaient systématiquement, chacun usant des phalanges de l'autre pour accomplir ses fantasmes sur le corps de son partenaire...
Alors qu'il se débarrassait à son tour de son pantalon, ne gardant que son boxer, Alivan se rendit compte d'une vérité de plus en plus... Étonnante. Il répétait avec elle des gestes qu'il ne réservait qu'à son affolante jumelle... Est-ce que ça disait plus sur son désir, ou son amour... Il l'ignorait. Mais sans même réfléchir, il reproduisait le schéma habituel de leurs jeux favoris, ceux qui les poussaient jusqu'à l'épuisement de ce que leurs corps pouvaient supporter, jusqu'à les faire hurler de plaisir à en perdre la tête... Alors, il glissa sous le corps de sa belle, se retournant en quelques secondes à peine, s'installant dans une de ses positions préférées, le nez devant l'intimité de son amour, et son boxer se présentant, quelque peu maladroitement, devant celui de la jeune femme.
Et Alivan de commencer à déposer de longs, lents, délicieux baisers du bout des lèvres sur l'intérieur des cuisses et le sous-vêtement de dentelle, humant le parfum de paradis s'en échappant. La culotte se parait doucement de petites zones transparentes, trahissant son plaisir grandissant. Alors, Alivan redoubla ses efforts, récupérant un peu du divin nectar d'un coup de langue au dessus du vêtement. Autant pour attiser la flamme que pour la sentir toujours plus brûlante contre lui... La lingerie semblait désormais comme trempée, ne cachant plus grand-chose de son contenu. Il posa un baiser plus langoureux sur le bouton à son sommet, soufflant à nouveau doucement sur la zone avant de lui murmurer, alors que ses mains passèrent sur le fessier, sous le magnifique sous-vêtement, s'apprêtant à le retirer dans de lentes griffures passionnées.
"Mon coeur... Alors... Jusqu'où irais-tu par amour pour moi... Quitter ces lieux... ?"
Il avait envie de lui apporter du plaisir, maintenant, tout de suite... Mais son envie de la faire languir, la rendre folle, était encore bien plus forte... Et de savoir les initiatives qu'elle prendra à son tour.
Alivan Bosvoski- Messages : 23
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