[ Déliquescence ]
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Taste it, Lick it, Baby ⋆ Galvane Ivanov

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Taste it, Lick it, Baby ⋆ Galvane Ivanov Empty Taste it, Lick it, Baby ⋆ Galvane Ivanov

Message  Galvane Ivanov Ven 31 Juil - 20:27

Kiss kiss BANG bang
Addicted




| Who am I ? |


Nom : Ivanov.
« En somme, un nom attendu. On sait à Moscou qu’Ivanov rime avec pouvoir, drogue, ivrogne, violence et débauche. On est trafiquant, dépravé et exécrable de père en fils chez nous, et ce, depuis que les Falconeri ont pris le pouvoir en Russie. On sait aussi que je suis la meilleure illustration de ce goût des addictions et des forces, le clone Ivanov porté à son apogée : que voulez-vous. Nous avons été crée pour tous vous asservir, vous tirer vers les bas-fonds de l’impuissance, et au passage vous baiser. »


Prénom : Galvane.
« On peut prendre une étude. Non que j’apprécie la lecture de cette merde.
‘Galvane n'aime pas la facilité ; c'est la difficulté qui le fascine et lui donne des ailes. On connaît bien ce mot de De Gaulle : "La difficulté attire l'homme de caractère..." Ce penchant du natif se manifeste dès son plus jeune âge. S'il doit monter au sommet d'une montagne, il choisira la pente la plus raide pour y accéder.‘
‚Comme disait Byron, "l'amour d'un homme n'occupe qu'une partie de sa vie" ; chez Galvane, cette partie est singulièrement réduite. L'amour ne l'intéresse que dans la mesure où il reste encore à conquérir. Dès que les choses deviennent faciles, le natif s'en lasse.‘
‚Le sens moral chez le natif est assez douteux. Il semble qu'il ne s'embarrasse guère de scrupules. Tout ce qui lui donne l'occasion d'agir lui procure en même temps une justification morale suffisante.‘
Pour une fois que ma mère a bien choisit quelque chose. C’est la seule et unique fois où elle aura fait preuve, sinon d’intelligence, (ce n’est qu’une femme, après tout), du moins d’instinct. »



Âge : 22 piges.
« …A courir de douleurs en douleurs, de folies en folies, et de dégradations en dégradations. Ô jouissance. »


Origines : Russes.
« On va pas faire compliquer. Ma mère est russe, née de parents russes, eux-mêmes nés de parents russes. Quant à mon père, il a peut-être une lointaine appartenance à la Roumanie, mais rien d’assez récent pour que cela souille mon sang moscovite. Point barre. »


Poste : Courtisan.
« Affilié à la drogue. Mon précieux. Ouais, ouais, à la tête du département le plus prospère qui soit, au coude à coude avec l’adorable tapette qui s’occupe des putes. Je suis dans la sphère dominante, de ceux qui serre la main robuste du grand Falconeri et qui l’appelle mon vieux en lui tapant dans le dos. Sur le chemin de la gloire, et avec du fric plein les poches. Mieux encore ; le fric des cadavres qui remplissent mes comptes en banque en faisant des overdoses. Mirifique. »


Ascendance : Courtisane.
« Le fiston du dernier trafiquant de drogue, et d’une secrétaire débile et blonde qui gémissait assez bien pour qu’on lui passe la bague au doigt et qu’on la laisse porter le divin enfant d’Ivanov. Des courtisans tous les deux – mais une conne un peu plus courtisane que l’autre, c’est tout. Avec l’enfance bercée dans la vénération du rital qui gambade dans le Building, la découverte précoce des plaisirs, et tout le tralala d’usage. »


Armes : Et de deux.
« Deux armes, en fait. D’abord, un énorme revolver, très lourd, très encombrant, il est l'arme de poing la plus puissante qui existe. Il fut tout d'abord créé pour la chasse au très gros gibier, mais il est évidement très facile de l'utiliser contre autre chose qu'un cerf. Sa grande taille et sa puissance font de ma précieuse machine à tuer une arme difficile à manier. Aussi, je l’utilise… en cas d’urgence. Face à cette petite salope de Lisbon, par exemple.
Spoiler:
Mon arme de service, « d’usage », celle qui tranche les gorges, que G.I joe coince dans sa botte et que je préfère coller à ma ceinture, juste au dessus de mon divin postérieur, c’est un couteau, hybride entre le couteau de barbier et le l’arme crantée. Manche de bois, lame gravée, petite secousse du pouce pour l’ouvrir et effleurer délicatement une gorge.
Spoiler:
Bref, léger, agile, agréable et virtuose. Ne serait-ce que pour percer une ou deux jugulaires, encombrantes. »


⟳ Physionomie : « Je n’ai pas l’intention de m’étendre sur mon physique. Il vous suffit d’ouvrir les yeux ; je suis attrayant et séduisant, bien foutu, canon, particulièrement bien fait de ma personne. Ma carrure est large, mon visage est harmonieux, mes muscles sont fins et nerveux, même si mes épaules sont épaisses. Hanches fines, belles mains. C’est pas qu’on m’attribuerait des talents de pianiste, mais au moins j’ai des doigts agiles, aux phalanges osseuses et aux paumes à peine atteinte par la corne masculine. Des os saillants, pas mal, notamment les clavicules et les ilions, par la colonne vertébrale, mais l’os occipital, ouais. J’ai la peau pâle des moscovites, cousues de cicatrices, une blanche et courbée comme un sourire sur la hanche, en en dentelle sur l’épaule. Belle gorge, aussi. Des fesses splendides, si délicieuses que certaines putes me font la nuit gratuite juste pour pouvoir les mater – d’où ma passion des jeans plus ou moins près du corps. Mon abdomen n’a pas l’allure d’un étalon musculeux, même si les abdominaux se devinent. Et celui qui me refuse le sobriquet de bombasse risque de se réveiller au cimetière.

Pour le visage, un rien aristocratique, mais l’impression seigneuriale se perd rapidos, parce qu’elle se mélange avec le ricanement sévère de la plèbe courtisane : c’est un hybride entre la finesse – pommettes hautes, un nez droit, des sourcils arqués ; et la robustesse – lèvres particulièrement lascives, yeux longs et légèrement en amande, front dur, mâchoire virile. Pas le genre de figure qu’on donne aux petits minets comme le cousin de Falconeri ou la tafiole préférée des putes. Que voulez-vous, on a de la testostérone, ou en a pas.

Mes cheveux sont bizarres, je l’admets ; grisâtres, mal coupés, ils encadrent mon visage comme un carré, et encerclent ma mâchoire ; ils sont souples, et je les repousse sans arrêt. Mes yeux, quant à eux, en dépit de leur forme longue, non rien de gracieux ; entre le gris et le noir, calmes et mauvais, ils jaugent, et c’est tout.

Venons en au fait : les signes de la drogue. Ils sont peu apparents, de toute évidence la condition de drogué se transmet aussi dans la famille et n’atteint que peu le physique. En dehors du fait que mes yeux soient souvent cerclés de violacé, que ma peau soit un peu blème en tant de grosses doses, et que le bout de mes doigts soit un peu craquelé, rien de bien navrant. La finesse de mon buste me vient de l’alcool, qui, au lieu de bouffir mes traits, me coupe la faim et me fait mincir, et les tremblements ou les tics que l’ont retrouve dans mes gestes, peuvent attester de quelques addictions. Rien de très probant, quoi.

Sur-ce. »


⋆ Psychologie : « Ma personnalité ? Hm.
J’imagine que je suis particulièrement exécrable. Irrespectueux, indépendant, attiré par l’interdit, le danger et la difficulté, et agressif. Amoureux et marié à la débauche, ma seule amante renouvelable ; et enfin, carrément misogyne. Je suis opportuniste, vulgaire, drogué, ivrogne, j’aime baiser, insulter, perdre conscience, rire des pauvres et des faibles, j’ai des tendances sérieusement sadiques et ne connait point la reconnaissance ou la pitié. Le meurtre m’attire. Les fesses de Lisbon aussi. Ca c’est une autre histoire. Bref.

Il est clair que je déteste les Opposants. Non pas que je vénère les Autocrates comme tous ces branleurs dans les bureaux de la City, mais les voir gémir dans nos locaux parce qu’on les torture comme des malades me fait rire. Les rebelles, ces imbéciles qui veulent voir leur organisation à la tête du monde ; ce serait se foutre de la gueule du monde. Que j’en vois un seul, que j’en rencontre un seul : je le buterai en riant de mes actes. Je le buterai avec plaisir.

De plus, j’estime que mon arrogance et mon orgueil ont lieu d’être : comment supporter qu’une femme me double dans la hiérarchie, par exemple ? je suis meilleur, c’est tout. Je déteste qu’on pique ma fierté : et ma colère ne sera que plus suave et plus douloureuse. Je réagis au quart de tour, et je sais jouer des menaces, des insultes et de la peur d’autrui. Je connais ma valeur.

Je peux être sympathique ; je le suis rarement, et seulement avec ceux qui peuvent apporter du plaisir : par exemple, ais-je jamais insulté une Belle de Nuit ? Non, ces adorables sont si expérimentées, si joyeuses, si délicatement jouissives ! Jamais. Idem pour le patron d’un bar ; ces marchands de plaisirs sont mes amis les plus proches. La drogue, certes, m’appartient ; mais je suis un touche à tout. J’aime le jeu pour sa puissance, l’alcool pour sa délivrance, l’amour pour sa passion ; l’amour charnel, s’entend. Car je suis désabusé. Dieu, l’amour psychique, l’âme, et tout le tralala, j’en ris de bon cœur. On me dira cynique, je répondrais lucide. A Moscou, aucune religion, aucune espérance ne sont possibles : on y meurt jeune, on y jouit sans arrêt, on y vit avec une fulgurance incroyable. Voilà où résidera mon adoration. »


⟳ Autres détails : « Je fume comme une cheminée.
J’adore me balader à moitié à poil, j’ai des tendances fortement naturistes. Même dans le froid russe.
J’ai sur moi un attirail de seringues, papiers, sachets, qui me permettent de profiter des pillules, poudres et liquides en tout genre.
Je marche légèrement voûté, avec vigilance, les doigts crocheté aux passants de ceinture.
Je dors rarement chez moi et on me retrouve très souvent défoncé et mal en point ; mais je retombe rapidement sur mes pattes.
Je suis aussi accro, dans une moindre mesure, à la caféine et à la théine.
J’ai des lunettes de lecture que j’évite le plus souvent possible de porter. J’aurais l’air d’un con de lettré.
J’ai une flopée de tâches de rousseur, dans le bas du dos, qui forment une galaxie.
Je suis particulièrement buccal : ma bouche est toujours en mouvement, que ce soit pour mordiller un objet ou mes propres lèvres. »


Dernière édition par Galvane Ivanov le Dim 16 Aoû - 12:56, édité 1 fois
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Message  Galvane Ivanov Dim 16 Aoû - 11:31

| Past to Present |


Lorsqu’on naît chez l’un des puissants des Courtisans, on sait déjà ce que l’on va devenir. C’est ce qui m’est arrivé. C’est bien simple : à partir de ma naissance, j’ai été l’Héritier. Celui qui snifferait de la coc à toute heure, le virtuose des revendeurs, le génie des trafiquants de drogue. LE junkie par exemple. Et, même si on a pas poussé le vice jusqu’à foutre de l’exta pilée dans mon biberon, j’ai été rapidement initié.

Ma mère, cette grosse conne, était une blondasse débile qui m’idolâtrait comme on aime un caniche. Et que je te câline la tête, et que je t’embrasse sur la bouche, et que je te foute des t-shirts rayé sur le dos, et que je te nettoie la joue en léchant mon index pour enlever le chocolat intrus. Bref, une lourdaude hystérique qui a fini par se faire larguer par mon père, ne serait-ce que parce que ses piaillements étaient devenus insupportables. J’ai plus de nouvelles. Je crois qu’elle s’est remariée avec un courtisan de pacotille, un connard avec une arme de poing pitoyable, et de toute façon je m’en branle.

Quant à mon père, il a eut le temps de tout m’apprendre, de me payer ma première pute, ma première cuite et mon premier buvard, avant de claquer, comme on s’y attendait tous, d’une overdose. Je l’ai déjà dit, non ? On crève vite à Moscou. Il avait presque la quarantaine ; un dinosaure en soit.

J’avais presque 15 ans ; assez pour me débrouiller tout seul et revendre les stocks que je contrôlais déjà. J’ai vite fait mon trou dans la hiérarchie, ne serait-ce que parce que j’étais Ivanov et que j’avais un lot de bad trip plutôt conséquent à mon actif ; à 18 ans, j’étais une sorte de petit dealer assez connu ; a 20, on me donnait avec générosité le poste que j’occupe maintenant, en me félicitant de toutes ces marques de seringue sur mon avant-bras. Pas un qui a eu l’idée que drogué je pouvais lâcher des trucs secrets sur les Courtisans. Enfin, on est con ou on l’est pas.

Ensuite, ça a été la farandole ; les laisser passer pour le Black Jack, les parties de Poker, les poufiasses par duo dans mon pieu, la flopée de seringues, de pilules, la poudre par kilos, les clefs de la salle des stocks, les affinités au sein du grand bureau, la main aux fesses des affiliés aux Falconeri, le petit paradis moscovite à l’état pur. On m’a connu pour tout ça, pour la pureté de ma drogue, pour la débâcle de mes mœurs, et pour la montée en flèche des ventes de drogues, qui s’était tari un peu avant la mort de mon paternel. L’Eden version City, jusqu’à ce qu’ELLE arrive.

Elle, c’est Charlie Lisbon. Une petite pétasse au look démentiel et à la démarche de panthère, qui en deux trois mouvements, là ou j’ai peiné comme un con dans les rues dégueulasses de Moscou, a atteint le poste des Liqueurs. J’imagine qu’elle a écarté les cuisses, cette pouf gratuite, mais là n’est pas la question : elle était là. A MON niveau. Avec ses 17 piges et son minois d’adolescente. Et même si tous les branleurs de la City l’idolâtrent et matent sa poitrine de planche à pain comme si elle était une Lilith réincarnée, je m’en fous royalement : je sais qu’elle cache quelque chose. Je sais qu’elle est anormale. Qu’elle est louche, qu’elle n’est pas là pour nous montrer à tous comment on se bourre la gueule. Alors peut-être que ma vie a l’air aussi limpide qu’elle l’était avant Lisbon : débauche, débauche, débauche. Mais elle a pris un tournant décisif : maintenant, elle a un but. Et ce sera, sinon de confondre cette gamine, du moins de la faire craquer.

Ou de la buter.


| And Her |


Je me nomme Garance&Gaby.


J’ai l’âge de boire. Illégalement.

J’ai découvert le forum Non, je l’ai fondé mit Vicky xP
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Message  Vic V. Vladislava Dim 16 Aoû - 13:57

*se roule par terre de rire*

Vic : Bon, par soucis de commodité, je vais te valider, se sera plus simple.

*pleure de rire*

Vic : Bref, très jolie fiche, aussi baclée que tu dises l'être, elle est amusante à lire...

*s'étouffe de rire*

Vic : Je ne te souhaite pas la bienvenue, mais tu as compris l'idée...
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Message  Garance Falconeri Dim 16 Aoû - 14:01

Merci Vicky \o//

Galvane : j'ai assez de fric pour venir te sau... te payer contre de douces étreintes, joli-postérieur.

(Encore un taré qui va semer la zizanie dans la boîte à persos. Remarque, un nympho violent de plus, ou de moins...)
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